RESILIENCE syndicat infirmier
à
Monsieur le Président de la République.
Strasbourg, le 30 septembre 2014.
Monsieur le Président,
nous venons, une nouvelle fois, vous faire part de notre demande concernant l’abrogation de l’ordre infirmier, mesure souvent annoncée, souvent repoussée mais jamais engagée. Afin de motiver, si besoin en était, les raisons de notre combat, car il s’agit bien d’une lutte, nous joignons à cette lettre, la copie du courrier envoyée ce jour à l’ensemble des parlementaires.
Monsieur le Président, la classe politique souffre d’un, très important et grave, discrédit aux yeux des français. Un des moyens les plus efficaces pour rendre un peu de légitimité à la parole publique serait, entre autre, de respecter les promesses de tous, à fortiori quand elles ne coûtent pas un seul euro au budget de l’Etat, l’abrogation de l’ordre infirmier en est une.
Nous sommes encore, nous semble-t-il, dans un état de droit. L’existence d’un syndicat national infirmier ne saurait être remise en cause par la seule volonté d’un ordre professionnel agonisant.
Cet ordre n’a plus rien d’infirmier mais continu à être l’enjeu d’une banque qui veut récupérer son argent après avoir prêté 19 millions d’euros à la va vite et sans aucune garantie, l’enjeu d’autres ordres qui craignent une contagion à leur propre entité en cas de défaillance ordinale infirmière, l’enjeu d’assureurs et autres requins de la finance qui lorgnent sur une profession de quelques 600 000 individus aux revenus réguliers.
Dans l’attente, recevez monsieur le Président nos salutations infirmières respectueuses et déterminées.
Hugues Dechilly,
secrétaire général de RESILIENCE,
infirmier diplômé d’Etat en exercice illégal.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
à
Monsieur le Président de la République.
Strasbourg, le 30 septembre 2014.
Monsieur le Président,
nous venons, une nouvelle fois, vous faire part de notre demande concernant l’abrogation de l’ordre infirmier, mesure souvent annoncée, souvent repoussée mais jamais engagée. Afin de motiver, si besoin en était, les raisons de notre combat, car il s’agit bien d’une lutte, nous joignons à cette lettre, la copie du courrier envoyée ce jour à l’ensemble des parlementaires.
Monsieur le Président, la classe politique souffre d’un, très important et grave, discrédit aux yeux des français. Un des moyens les plus efficaces pour rendre un peu de légitimité à la parole publique serait, entre autre, de respecter les promesses de tous, à fortiori quand elles ne coûtent pas un seul euro au budget de l’Etat, l’abrogation de l’ordre infirmier en est une.
Nous sommes encore, nous semble-t-il, dans un état de droit. L’existence d’un syndicat national infirmier ne saurait être remise en cause par la seule volonté d’un ordre professionnel agonisant.
Cet ordre n’a plus rien d’infirmier mais continu à être l’enjeu d’une banque qui veut récupérer son argent après avoir prêté 19 millions d’euros à la va vite et sans aucune garantie, l’enjeu d’autres ordres qui craignent une contagion à leur propre entité en cas de défaillance ordinale infirmière, l’enjeu d’assureurs et autres requins de la finance qui lorgnent sur une profession de quelques 600 000 individus aux revenus réguliers.
Dans l’attente, recevez monsieur le Président nos salutations infirmières respectueuses et déterminées.
Hugues Dechilly,
secrétaire général de RESILIENCE,
infirmier diplômé d’Etat en exercice illégal.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.