Lesinfirmières Encolère
à
Monsieur le Président de la République.
55 rue du Faubourg Saint Honoré – 75008 Paris.
Le 23 janvier 2014.
Monsieur le Président de la République,
nous venons, par la présente lettre, vous confirmer, si besoin est, notre colère infirmière qui gronde et qui, malheureusement, ne semble pas devoir baisser.
Les sujets infirmiers de mécontentements ne manquent pas, tels la pénibilité, l’ordre infirmier, les salaires, le chômage, etc …
Madame la Ministre de la Santé semble imperméable à nos revendications, syndicales, professionnelles et autres.
Pourtant, même sans y penser tous les matins, il nous semble que des élections approchent et que, comme beaucoup de français, nous aurons l’occasion de vous signifier, dans les urnes, notre ras le bol.
La santé et les professionnels infirmiers sont gérés, avant tout, par des financiers qui oublient trop rapidement que nous sommes aussi des citoyennes, contribuables, électrices au nombre de 600 000 en activité et quelques 70 000 en formation auxquelles nous ajouterons 1 million de retraitées infirmières, au contact permanent de la population.
Nous n’irons pas casser des abribus ou déverser du fumier devant les préfectures, nous n’empêcherons pas les français de partir en congés et nous continuerons à soigner les patients.
Recevez, malgré tout, monsieur le Président, nos salutations infirmières respectueuses et déterminées.
Pour le collectif
Lesinfirmières Encolère
à
Monsieur le Président de la République.
55 rue du Faubourg Saint Honoré – 75008 Paris.
Le 23 janvier 2014.
Monsieur le Président de la République,
nous venons, par la présente lettre, vous confirmer, si besoin est, notre colère infirmière qui gronde et qui, malheureusement, ne semble pas devoir baisser.
Les sujets infirmiers de mécontentements ne manquent pas, tels la pénibilité, l’ordre infirmier, les salaires, le chômage, etc …
Madame la Ministre de la Santé semble imperméable à nos revendications, syndicales, professionnelles et autres.
Pourtant, même sans y penser tous les matins, il nous semble que des élections approchent et que, comme beaucoup de français, nous aurons l’occasion de vous signifier, dans les urnes, notre ras le bol.
La santé et les professionnels infirmiers sont gérés, avant tout, par des financiers qui oublient trop rapidement que nous sommes aussi des citoyennes, contribuables, électrices au nombre de 600 000 en activité et quelques 70 000 en formation auxquelles nous ajouterons 1 million de retraitées infirmières, au contact permanent de la population.
Nous n’irons pas casser des abribus ou déverser du fumier devant les préfectures, nous n’empêcherons pas les français de partir en congés et nous continuerons à soigner les patients.
Recevez, malgré tout, monsieur le Président, nos salutations infirmières respectueuses et déterminées.
Pour le collectif
Lesinfirmières Encolère