Loi Santé : du risible au ... ridicule !
à ce jour, l'examen en seconde lecture de la loi Santé a été reporté du 16 au 17, puis du 17 au 19, puis du 19 au 24, puis du 24 novembre au 01 décembre pour le vote "solennel" en séance plénière,
fortement décrié, avant les attentats du vendredi 13, ce projet de Loi "électoraliste" a la particularité de concerner l'ensemble des français, soit usagers, soit professionnels de la santé, soit buralistes, soit viticulteurs ou cafetiers, etc ...
pas un citoyen ne peut se dire qu'il n'est pas directement impacté par cette loi fleuve et/ou "fourre tout", comme le sont les lois Macron, des lobbying se font ainsi encore plus pressants, et les parlementaires parfois à l'écoute de leurs électeurs (y compris et surtout en cette période d'élections régionales) ont à choisir entre l'assouplissement de la loi Evin/publicité sur l'alcool, le durcissement des mesures anti tabac/buralistes qui sont plus remontés que jamais, le TPG, etc ...
certains politiques, et non des moindres, allant jusqu'à retourner leur veste et renier leurs programmes électoraux d'alors opposants, sur l'ordre infirmier, désormais présidé par un retraité, pour ne prendre que cet exemple emblématique !
le courage politique de quelques unes est désormais à souligner tant le comportement des politiciens, pour certains réélus à vie et de père en fils, fait honte aux valeurs républicaines et démocratiques ...
empêtrée dans cette nasse, la Loi Santé est devenue, selon nos collègues soignants, le sparadrap qui colle aux doigts du capitaine Hollande, lui même sur occupé sur les sujets de politiques étrangères entre la dette grecque et ... les malheureux attentats du black friday !
triste mais réel symbole de ce que les gouvernants ont comme opinion des moyens à mettre en oeuvre pour la Santé des français : la Croix Rouge a lancé, récemment, un appel aux dons pour financer, non pas un énième plan d'aide aux réfugiés africains mais les tenues professionnelles de nos propres étudiants infirmiers désargentés, futurs collègues, qui poursuivent leur cursus dans ses 34 établissements ...
que va-t-il rester - au final - de cette loi santé ?
un maximum de déçus, "cocus version XXL", interdits de manifester sur la voie publique et qui vont ruminer - juste avant les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015, leur mauvaise humeur jusque dans les urnes suite à un redécoupage géopolitique lui aussi très contesté,
les derniers sondages (que certains éditorialistes nomment "alertes") hier et "post trauma du 13 novembre", ne font que confirmer la situation connue avec une flambée des extrêmes, les français faisant toujours la différence entre la sympathie affichée à l'égard du président Hollande, guerrier en chef, et la réalité de la vie quotidienne !
pendant ce temps, les soignants glorifiés à hauteur de 3 millions d'euros par la ministre de la santé - qui est de moins en moins à sa place à la tête de ce ministère - continuent à morfler au quotidien, attentats ou non, puisque les gouvernements ont tous - de droite ou de gauche - appliqué les mêmes mauvaises méthodes aux mêmes problèmes connus depuis ... 30 ans,
cette loi, voulue de Santé Publique, n'en (com)porte désormais plus que le non(m) !
à ce jour, l'examen en seconde lecture de la loi Santé a été reporté du 16 au 17, puis du 17 au 19, puis du 19 au 24, puis du 24 novembre au 01 décembre pour le vote "solennel" en séance plénière,
fortement décrié, avant les attentats du vendredi 13, ce projet de Loi "électoraliste" a la particularité de concerner l'ensemble des français, soit usagers, soit professionnels de la santé, soit buralistes, soit viticulteurs ou cafetiers, etc ...
pas un citoyen ne peut se dire qu'il n'est pas directement impacté par cette loi fleuve et/ou "fourre tout", comme le sont les lois Macron, des lobbying se font ainsi encore plus pressants, et les parlementaires parfois à l'écoute de leurs électeurs (y compris et surtout en cette période d'élections régionales) ont à choisir entre l'assouplissement de la loi Evin/publicité sur l'alcool, le durcissement des mesures anti tabac/buralistes qui sont plus remontés que jamais, le TPG, etc ...
certains politiques, et non des moindres, allant jusqu'à retourner leur veste et renier leurs programmes électoraux d'alors opposants, sur l'ordre infirmier, désormais présidé par un retraité, pour ne prendre que cet exemple emblématique !
le courage politique de quelques unes est désormais à souligner tant le comportement des politiciens, pour certains réélus à vie et de père en fils, fait honte aux valeurs républicaines et démocratiques ...
empêtrée dans cette nasse, la Loi Santé est devenue, selon nos collègues soignants, le sparadrap qui colle aux doigts du capitaine Hollande, lui même sur occupé sur les sujets de politiques étrangères entre la dette grecque et ... les malheureux attentats du black friday !
triste mais réel symbole de ce que les gouvernants ont comme opinion des moyens à mettre en oeuvre pour la Santé des français : la Croix Rouge a lancé, récemment, un appel aux dons pour financer, non pas un énième plan d'aide aux réfugiés africains mais les tenues professionnelles de nos propres étudiants infirmiers désargentés, futurs collègues, qui poursuivent leur cursus dans ses 34 établissements ...
que va-t-il rester - au final - de cette loi santé ?
un maximum de déçus, "cocus version XXL", interdits de manifester sur la voie publique et qui vont ruminer - juste avant les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015, leur mauvaise humeur jusque dans les urnes suite à un redécoupage géopolitique lui aussi très contesté,
les derniers sondages (que certains éditorialistes nomment "alertes") hier et "post trauma du 13 novembre", ne font que confirmer la situation connue avec une flambée des extrêmes, les français faisant toujours la différence entre la sympathie affichée à l'égard du président Hollande, guerrier en chef, et la réalité de la vie quotidienne !
pendant ce temps, les soignants glorifiés à hauteur de 3 millions d'euros par la ministre de la santé - qui est de moins en moins à sa place à la tête de ce ministère - continuent à morfler au quotidien, attentats ou non, puisque les gouvernements ont tous - de droite ou de gauche - appliqué les mêmes mauvaises méthodes aux mêmes problèmes connus depuis ... 30 ans,
cette loi, voulue de Santé Publique, n'en (com)porte désormais plus que le non(m) !