Lesinfirmières Encolère
et
RESiLIENCE syndicat infirmier
à
madame Claire Compagnon,
avocate et auteur du rapport
« An II de la Démocratie Sanitaire »
copie à
Madame la ministre de la Santé.
Strasbourg, le 18 février 2014.
Madame,
comme suite à la parution de votre rapport intitulé « An II de la Démocratie sanitaire », que vous avez très récemment remis à madame la Ministre de la Santé, nous avons le plaisir de vous apporter quelques remarques et autres pistes de réflexions.
Ayant parcouru les 259 pages de ce document très intéressant par ailleurs, nous n avons pas trouvé, même si l objet de votre mission ne l était pas, de passage relatif aux devoirs des patients dont vous défendez, assurément avec conviction, les droits.
Oui les soignés ont des droits, mais où sont passés ceux des soignants quand l augmentation exponentielle des agressions – de tous types – explose à l encontre des professionnels de la Santé, toutes catégories confondues ?
Il nous semble pourtant avoir lu, à maintes reprises dans vos écrits, que la concertation devait prévaloir, sous toutes ses formes, au sein de l institution hospitalière. Comment instaurer la confiance, car c est bien de cela dont il s agit, au final, entre les soignés et les soignants, si les droits des seconds sont bafoués pendant que ceux des premiers sont renforcés ?
En vous remerciant de l intérêt que vous apporterez à notre lettre, de tout cela nous aurions aimé discuter avec vous.
Bien cordialement.
Solange Granier Hugues Dechilly
infirmière diplômée d État, infirmier diplômé d État,
membre du collectif secrétaire général du
Lesinfirmières Encolère syndicat infirmier RESILIENCE
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
et
RESiLIENCE syndicat infirmier
à
madame Claire Compagnon,
avocate et auteur du rapport
« An II de la Démocratie Sanitaire »
copie à
Madame la ministre de la Santé.
Strasbourg, le 18 février 2014.
Madame,
comme suite à la parution de votre rapport intitulé « An II de la Démocratie sanitaire », que vous avez très récemment remis à madame la Ministre de la Santé, nous avons le plaisir de vous apporter quelques remarques et autres pistes de réflexions.
Ayant parcouru les 259 pages de ce document très intéressant par ailleurs, nous n avons pas trouvé, même si l objet de votre mission ne l était pas, de passage relatif aux devoirs des patients dont vous défendez, assurément avec conviction, les droits.
Oui les soignés ont des droits, mais où sont passés ceux des soignants quand l augmentation exponentielle des agressions – de tous types – explose à l encontre des professionnels de la Santé, toutes catégories confondues ?
Il nous semble pourtant avoir lu, à maintes reprises dans vos écrits, que la concertation devait prévaloir, sous toutes ses formes, au sein de l institution hospitalière. Comment instaurer la confiance, car c est bien de cela dont il s agit, au final, entre les soignés et les soignants, si les droits des seconds sont bafoués pendant que ceux des premiers sont renforcés ?
En vous remerciant de l intérêt que vous apporterez à notre lettre, de tout cela nous aurions aimé discuter avec vous.
Bien cordialement.
Solange Granier Hugues Dechilly
infirmière diplômée d État, infirmier diplômé d État,
membre du collectif secrétaire général du
Lesinfirmières Encolère syndicat infirmier RESILIENCE
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.