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Le SIISNEQ-CSQ lance une pétition pour exiger la démission de la présidente de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec
SAGUENAY, QC, le 18 nov. 2013 /CNW Telbec/ - Le Syndicat des intervenantes et intervenants de la santé du Nord-Est québécois (SIISNEQ-CSQ) lance une pétition pour exiger la démission de Lucie Tremblay, présidente de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) pour ses propos à l'égard du personnel infirmier du Québec. Le syndicat exige également des excuses de la part du conseil d'administration de l'OIIQ. La pétition sera disponible au
http://siisneq.csq.qc.net/petition/ .
Les membres du SIISNEQ-CSQ demandent à ce que l'organisation présente des excuses publiques aux infirmières et infirmiers détenant une formation collégiale. « La présidente de l'OIIQ a insulté nos membres en déclarant qu'elles n'étaient pas assez qualifiées pour travailler dans certains secteurs, dénonce Nathalie Savard, présidente du SIISNEQ-CSQ. Elle porte atteinte à la confiance de la population envers le personnel infirmier, c'est complètement contraire au mandat d'un ordre professionnel comme l'OIIQ ! »
La présidente du SIISNEQ-CSQ se désole du même souffle que l'OIIQ n'ait pas consulté le personnel infirmier au sujet du dossier de la formation initiale des infirmières et infirmiers du Québec avant de prendre position.
Les vrais dangers pour la profession
« Au lieu de créer de la dissension et d'insulter 60 % des infirmières et infirmiers du Québec qui donnent d'excellents services à la population dans les centres de santé et de services sociaux, la présidente de l'OIIQ aurait mieux fait de s'attarder aux compressions budgétaires et aux surcharges de travail, car ces deux priorités affectent directement la qualité et la sécurité des soins de santé », remarque Nathalie Savard.
Rappelons que, la semaine dernière, les membres du SIISNEQ-CSQ ont dénoncé, en assemblée générale des déléguées et délégués, la pénurie de personnel dans plusieurs établissements et la surcharge de travail qui leur est imposée.
Un combat syndical pour un service public à la hauteur
« L'attraction et la rétention du personnel, la stabilité et la planification des horaires, voilà ce que nos membres attendent qu'on mène comme combat. Ce n'est pas l'OIIQ qui le mènera. Comme syndicat, nous devons pousser les employeurs, les agences de santé et le ministère de la Santé à prendre des décisions qui auront un impact positif sur les services à la population », souligne Nathalie Savard.
Profil du SIISNEQ
Le Syndicat des intervenantes et intervenants de la santé du Nord-Est québécois (SIISNEQ-CSQ) représente 1 250 membres infirmières et infirmiers, infirmières auxiliaires et infirmiers auxiliaires et inhalothérapeutes oeuvrant dans 9 réseaux répartis dans les régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Côte-Nord, de la Basse Côte-Nord et du Nord-du-Québec.
SOURCE CSQ
Le SIISNEQ-CSQ lance une pétition pour exiger la démission de la présidente de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec
SAGUENAY, QC, le 18 nov. 2013 /CNW Telbec/ - Le Syndicat des intervenantes et intervenants de la santé du Nord-Est québécois (SIISNEQ-CSQ) lance une pétition pour exiger la démission de Lucie Tremblay, présidente de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) pour ses propos à l'égard du personnel infirmier du Québec. Le syndicat exige également des excuses de la part du conseil d'administration de l'OIIQ. La pétition sera disponible au
http://siisneq.csq.qc.net/petition/ .
Les membres du SIISNEQ-CSQ demandent à ce que l'organisation présente des excuses publiques aux infirmières et infirmiers détenant une formation collégiale. « La présidente de l'OIIQ a insulté nos membres en déclarant qu'elles n'étaient pas assez qualifiées pour travailler dans certains secteurs, dénonce Nathalie Savard, présidente du SIISNEQ-CSQ. Elle porte atteinte à la confiance de la population envers le personnel infirmier, c'est complètement contraire au mandat d'un ordre professionnel comme l'OIIQ ! »
La présidente du SIISNEQ-CSQ se désole du même souffle que l'OIIQ n'ait pas consulté le personnel infirmier au sujet du dossier de la formation initiale des infirmières et infirmiers du Québec avant de prendre position.
Les vrais dangers pour la profession
« Au lieu de créer de la dissension et d'insulter 60 % des infirmières et infirmiers du Québec qui donnent d'excellents services à la population dans les centres de santé et de services sociaux, la présidente de l'OIIQ aurait mieux fait de s'attarder aux compressions budgétaires et aux surcharges de travail, car ces deux priorités affectent directement la qualité et la sécurité des soins de santé », remarque Nathalie Savard.
Rappelons que, la semaine dernière, les membres du SIISNEQ-CSQ ont dénoncé, en assemblée générale des déléguées et délégués, la pénurie de personnel dans plusieurs établissements et la surcharge de travail qui leur est imposée.
Un combat syndical pour un service public à la hauteur
« L'attraction et la rétention du personnel, la stabilité et la planification des horaires, voilà ce que nos membres attendent qu'on mène comme combat. Ce n'est pas l'OIIQ qui le mènera. Comme syndicat, nous devons pousser les employeurs, les agences de santé et le ministère de la Santé à prendre des décisions qui auront un impact positif sur les services à la population », souligne Nathalie Savard.
Profil du SIISNEQ
Le Syndicat des intervenantes et intervenants de la santé du Nord-Est québécois (SIISNEQ-CSQ) représente 1 250 membres infirmières et infirmiers, infirmières auxiliaires et infirmiers auxiliaires et inhalothérapeutes oeuvrant dans 9 réseaux répartis dans les régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Côte-Nord, de la Basse Côte-Nord et du Nord-du-Québec.
SOURCE CSQ