à
Monsieur le Premier ministre.
Strasbourg, le 03 juillet 2013.
Monsieur le Premier ministre,
dans une lettre adressée à madame la ministre de la Santé, en date du 23 avril dernier, courrier resté sans réponse, je lui écrivais ceci en lui demandant de bien vouloir faire diligenter une enquête de l'IGAS à l'encontre de l'ordre infirmier :
« En effet, il apparaît clairement que selon les précisions diffusées par RESILIENCE au cours de ces derniers mois, notamment en matière de gestion des adhérents, de gestion du fichier ordinal, de non renouvellement des mandats ordinaux, la plus grande confusion règne au sein de l'ordre infirmier, dysfonctionnements graves qui sont ainsi confirmés par les responsables, eux mêmes, de l'oni. »
Monsieur le Premier ministre, notre syndicat national a, à ce jour, déposé des plaintes documentées, en cours de traitement, auprès des tribunaux pour les motifs suivants, pour ne citer que les principales :
- escroquerie et/ou tromperie, prélèvements bancaires abusifs, auprès du procureur de la République de Paris, à deux reprises,
- utilisation frauduleuse et/ou abusive de fichiers nominatifs, plaintes simultanément adressées à la CNIL à trois reprises et/ou au procureur de la République de Strasbourg,
- usurpation de la qualité professionnelle infirmière auprès du procureur de la République de Lyon,
Plusieurs membres du conseil national de l'ordre infirmier ont démissionné, ces derniers mois, en confortant dans des lettres ouvertes, les informations diffusées par notre syndicat infirmier.
Demain 04 juillet 2013, l'ordre tiendra une conférence de presse dans les locaux de la brasserie Lipp à Paris, quand ce n'est pas dans les locaux du Conseil d'État (!), alors même que l'état financier est catastrophique, RESILIENCE ayant eu à prendre connaissance des comptes et bilans de l'ordre.
Monsieur le Premier ministre, vous avez récemment paraphé un décret visant à installer les sections disciplinaires au sein des tribunaux des Affaires Sociales. Dans un courrier de décembre 2011, vous souteniez pleinement nos actions et notre demande d'abrogation de l'ordre infirmier, en votre qualité de président du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale.
L'ordre infirmier – au comportement farfelu, opaque et mafieux - semble ainsi bénéficier d'une mansuétude inquiétante et autres bienveillances de la République, contre la volonté de plus de 80% des 550 000 infirmières en activité,
Monsieur le Premier ministre, qu'en est-il exactement ?
Dans l'attente, nous vous adressons, monsieur le Premier ministre, nos salutations infirmières citoyennes et respectueuses.
Hugues Dechilly,
secrétaire général,
infirmier diplômé d'État
en exercice illégal.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Monsieur le Premier ministre.
Strasbourg, le 03 juillet 2013.
Monsieur le Premier ministre,
dans une lettre adressée à madame la ministre de la Santé, en date du 23 avril dernier, courrier resté sans réponse, je lui écrivais ceci en lui demandant de bien vouloir faire diligenter une enquête de l'IGAS à l'encontre de l'ordre infirmier :
« En effet, il apparaît clairement que selon les précisions diffusées par RESILIENCE au cours de ces derniers mois, notamment en matière de gestion des adhérents, de gestion du fichier ordinal, de non renouvellement des mandats ordinaux, la plus grande confusion règne au sein de l'ordre infirmier, dysfonctionnements graves qui sont ainsi confirmés par les responsables, eux mêmes, de l'oni. »
Monsieur le Premier ministre, notre syndicat national a, à ce jour, déposé des plaintes documentées, en cours de traitement, auprès des tribunaux pour les motifs suivants, pour ne citer que les principales :
- escroquerie et/ou tromperie, prélèvements bancaires abusifs, auprès du procureur de la République de Paris, à deux reprises,
- utilisation frauduleuse et/ou abusive de fichiers nominatifs, plaintes simultanément adressées à la CNIL à trois reprises et/ou au procureur de la République de Strasbourg,
- usurpation de la qualité professionnelle infirmière auprès du procureur de la République de Lyon,
Plusieurs membres du conseil national de l'ordre infirmier ont démissionné, ces derniers mois, en confortant dans des lettres ouvertes, les informations diffusées par notre syndicat infirmier.
Demain 04 juillet 2013, l'ordre tiendra une conférence de presse dans les locaux de la brasserie Lipp à Paris, quand ce n'est pas dans les locaux du Conseil d'État (!), alors même que l'état financier est catastrophique, RESILIENCE ayant eu à prendre connaissance des comptes et bilans de l'ordre.
Monsieur le Premier ministre, vous avez récemment paraphé un décret visant à installer les sections disciplinaires au sein des tribunaux des Affaires Sociales. Dans un courrier de décembre 2011, vous souteniez pleinement nos actions et notre demande d'abrogation de l'ordre infirmier, en votre qualité de président du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale.
L'ordre infirmier – au comportement farfelu, opaque et mafieux - semble ainsi bénéficier d'une mansuétude inquiétante et autres bienveillances de la République, contre la volonté de plus de 80% des 550 000 infirmières en activité,
Monsieur le Premier ministre, qu'en est-il exactement ?
Dans l'attente, nous vous adressons, monsieur le Premier ministre, nos salutations infirmières citoyennes et respectueuses.
Hugues Dechilly,
secrétaire général,
infirmier diplômé d'État
en exercice illégal.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.