toutes les infos que nous continuons de recevoir, en ce tout début d'année, font état d'un ordre infirmier pris à la gorge par sa seule banque, qui a pour seul objectif de continuer à encaisser le moindre euro et à larguer l'oni quand la pompe à fric ne coulera plus ...
les retards et autre arrièrés de paiement continuent à gonfler la seconde dette ordinale, les déménagements / regroupements géographiques traînent en longueur, les assistantes - futures chômeuses - viennent de recevoir leur lettre de cadrage/procédure, elles sont pour l'instant payées à rester chez elles à ne rien faire, pendant que d'autres croulent sous la charge de travail multipliée par 3 ou 4, avec les inscriptions forcées notamment auprès des jeunes diplômés n'ayant pas encore de contrat de travail,
l'ordre infirmier n'est pas même en mesure d'assurer le minimum et continue à vendre des "forfaits caducée" à 75 euros alors que ses stocks sont vides et qu'il n'a pas les moyens de les reconstituer,
la colère gronde et enfle tous les jours un peu plus parmi celles et ceux - très nombreux - qui ne digèrent pas les menaces reçues en début de semaine, menaces claires et nettes mais sans effet puisque non adressées contre signature, l'oni n'ayant pas les moyens financiers d'envoyer ces mêmes courriers par recommandés, l'oni jouant la carte de la menace et de l'intimidation, procédé ordinal bien connu (même pas peur) ...
manifestement le vide juridique consécutif à l'absence de publication au JO des décrets relatifs à l'inscription/cotisation profitera aux éventuels justiciables comme il a profité, il y a peu, aux kinés relaxés à Bourg en Bresse et Châteauroux !
des parlementaires commencent d'ailleurs à appuyer là où çà fait mal en questionnant par écrit le ministre à ce sujet ...
il est clair, qu'à bout de souffle, l'oni ayant fait le plein et n'ayant plus qu'une infime marge de manoeuvre, ce sont les présidents départementaux et régionaux qui vont se retrouver "le bec dans l'eau", à devoir payer les factures engagées sur leur nom, quand la banque décidera définitivement de retirer ses billes ... la direction de l'oni n'étant, elle, en rien engagée sur le terrain glissant des responsabilités directes à assumer ...
le plus tôt possible !
toutes les infos sur www.syndico.exprimetoi.net le site @ de RESILIENCE
les retards et autre arrièrés de paiement continuent à gonfler la seconde dette ordinale, les déménagements / regroupements géographiques traînent en longueur, les assistantes - futures chômeuses - viennent de recevoir leur lettre de cadrage/procédure, elles sont pour l'instant payées à rester chez elles à ne rien faire, pendant que d'autres croulent sous la charge de travail multipliée par 3 ou 4, avec les inscriptions forcées notamment auprès des jeunes diplômés n'ayant pas encore de contrat de travail,
l'ordre infirmier n'est pas même en mesure d'assurer le minimum et continue à vendre des "forfaits caducée" à 75 euros alors que ses stocks sont vides et qu'il n'a pas les moyens de les reconstituer,
la colère gronde et enfle tous les jours un peu plus parmi celles et ceux - très nombreux - qui ne digèrent pas les menaces reçues en début de semaine, menaces claires et nettes mais sans effet puisque non adressées contre signature, l'oni n'ayant pas les moyens financiers d'envoyer ces mêmes courriers par recommandés, l'oni jouant la carte de la menace et de l'intimidation, procédé ordinal bien connu (même pas peur) ...
manifestement le vide juridique consécutif à l'absence de publication au JO des décrets relatifs à l'inscription/cotisation profitera aux éventuels justiciables comme il a profité, il y a peu, aux kinés relaxés à Bourg en Bresse et Châteauroux !
des parlementaires commencent d'ailleurs à appuyer là où çà fait mal en questionnant par écrit le ministre à ce sujet ...
il est clair, qu'à bout de souffle, l'oni ayant fait le plein et n'ayant plus qu'une infime marge de manoeuvre, ce sont les présidents départementaux et régionaux qui vont se retrouver "le bec dans l'eau", à devoir payer les factures engagées sur leur nom, quand la banque décidera définitivement de retirer ses billes ... la direction de l'oni n'étant, elle, en rien engagée sur le terrain glissant des responsabilités directes à assumer ...
le plus tôt possible !
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