reçu sur alloresilience ...
[ltr][size=15]Madame la députée Annie Le Houerou,
vous avez en avril dernier respecté votre engagement de procéder à l'abrogation de l'Ordre national infirmier par le biais d[size=16]'un amendement.
Les sénateurs de droite et certains de vos collègues socialistes, à commencer par la ministre de la santé, Marisol Touraine, ont fait en sorte que cet amendement et cette abrogation soient annulés fin juillet puis en octobre au Sénat.
Madame la députée, vous êtes venue physiquement réaffirmer votre position très clairement sur le sujet lors de l'audition des syndicats infirmiers le 28 octobre 2015 à l'Assemblée Nationale.
Aussi, je vous demande par la présente, de bien vouloir réintroduire et faire voter cet amendement visant à supprimer purement et simplement un Ordre professionnel toujours plus repoussé par les infirmières. Les détails concernant le surendettement et les finances de l'Ordre, les menaces, les procédures et le chantage de ce même Oni à l'encontre des opposants sont connus.
L'avocat de l'Ordre allant même jusqu'à se procurer des courriels privés adressés à des parlementaires pour demander à des syndicalistes infirmiers de se dédire sous la menace d'être traduits devant les tribunaux !
Comme moi, vous avez certainement en tête les insultes du secrétaire général de l'Ordre infirmier vous gratifiant de "pieds nickelés à 12900 euros/mois" en avril 2015.
Avant l'Ordre infirmier, avant 2006, les infirmières étaient déjà soumises à des contrôles et le cas échéant faisaient déjà l'objet, soit de sanctions en commissions disciplinaires statutaires, soit de condamnations devant les tribunaux, au nom du peuple français. Elles ne sont pas devenues délinquantes et irresponsables du jour au lendemain par je ne sais quelle illumination, certes en période de noël, de quelques penseurs qui cumulent les postes syndicaux, ordinaux, associatifs, etc... et qui ont oublié la pratique infirmière du terrain, passant des carrières entières sous les mandats syndicaux renouvelés.
A défaut de pouvoir abroger cet Ordre infirmier, je vous demande de bien vouloir faire en sorte que les infirmières soient consultées par un vote (non organisé par l'Ordre) afin quelles puissent se prononcer pour ou contre : au moins nous serons fixées !
Recevez madame la députée Annie Le Houerou mes meilleures salutations.
Elisabeth XXXXXXX
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| 07:35 (Il y a 2 heures) | |||
[ltr][size=15]Madame la députée Annie Le Houerou,
vous avez en avril dernier respecté votre engagement de procéder à l'abrogation de l'Ordre national infirmier par le biais d[size=16]'un amendement.
Les sénateurs de droite et certains de vos collègues socialistes, à commencer par la ministre de la santé, Marisol Touraine, ont fait en sorte que cet amendement et cette abrogation soient annulés fin juillet puis en octobre au Sénat.
Madame la députée, vous êtes venue physiquement réaffirmer votre position très clairement sur le sujet lors de l'audition des syndicats infirmiers le 28 octobre 2015 à l'Assemblée Nationale.
Aussi, je vous demande par la présente, de bien vouloir réintroduire et faire voter cet amendement visant à supprimer purement et simplement un Ordre professionnel toujours plus repoussé par les infirmières. Les détails concernant le surendettement et les finances de l'Ordre, les menaces, les procédures et le chantage de ce même Oni à l'encontre des opposants sont connus.
L'avocat de l'Ordre allant même jusqu'à se procurer des courriels privés adressés à des parlementaires pour demander à des syndicalistes infirmiers de se dédire sous la menace d'être traduits devant les tribunaux !
Comme moi, vous avez certainement en tête les insultes du secrétaire général de l'Ordre infirmier vous gratifiant de "pieds nickelés à 12900 euros/mois" en avril 2015.
Avant l'Ordre infirmier, avant 2006, les infirmières étaient déjà soumises à des contrôles et le cas échéant faisaient déjà l'objet, soit de sanctions en commissions disciplinaires statutaires, soit de condamnations devant les tribunaux, au nom du peuple français. Elles ne sont pas devenues délinquantes et irresponsables du jour au lendemain par je ne sais quelle illumination, certes en période de noël, de quelques penseurs qui cumulent les postes syndicaux, ordinaux, associatifs, etc... et qui ont oublié la pratique infirmière du terrain, passant des carrières entières sous les mandats syndicaux renouvelés.
A défaut de pouvoir abroger cet Ordre infirmier, je vous demande de bien vouloir faire en sorte que les infirmières soient consultées par un vote (non organisé par l'Ordre) afin quelles puissent se prononcer pour ou contre : au moins nous serons fixées !
Recevez madame la députée Annie Le Houerou mes meilleures salutations.
Elisabeth XXXXXXX
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