http://informidel.blogspot.fr/2014/11/insecurite-p-chamboredon-president-du.html?spref=fb
lundi 10 novembre 2014
Insécurité : P CHAMBOREDON président du Conseil Régional Paca de l'Ordre Infirmier sollicite un député pour une question à la ministre de la Santé
LETTRE DU DÉPUTE AUX IDEL
Patrick CHAMBOREDON est président du Conseil Régional de l'Ordre Infirmier de la région Paca, réélu en 2014 à se poste, dans le collège public.
Par ses fonctions de cadre hospitalier salarié de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, du fait des liens de l'AP-HM avec les élus politiques locaux (cf rôle du président du Conseil de Surveillance du sénateur maire JC GAUDIN en cliquant sur le lien suivant : http://fr.ap-hm.fr/ap-hm/organisation/conseil-de-surveillance ), P CHAMBOREDON est amené naturellement à solliciter un proche de J C GAUDIN, le député Dominique TIAN afin qu'il alerte la ministre sur le nombre croissant de violences verbales et physiques dont sont victimes les infirmiers (ières) dans le cadre de leur fonction.
QUESTION A LA MINISTRE
Une intéressante initiative pour interpeller les pouvoirs publics sur les conditions d'exercice de plus en plus difficiles des infirmiers (ières). A noter que la question posée par Dominique TIAN semble concerner surtout les infirmiers (ières) exerçant hors établissement, les problèmes des urgences et autres services des hôpitaux ne sont pas évoqués.
Un coup de pub de cet élu de la droite populaire pour surfer sur la vague de l'insécurité ? oui, c'est certain.
Alors la démarche serait-elle en mesure d'inverser la tendance depuis plusieurs années à détruire l'image de la profession par des campagnes de dénigrement orchestrées par l'assurance maladie, présentant les infirmiers (ières) dans le cadre de la lutte contre la fraude sociale comme principaux fraudeurs ?
lire la suite dans plus d'infos................
Pour répondre à la question, il est important en premier lieu de préciser que l'origine du sentiment d'insécurité constamment présent chez les infirmiers (ières) en exercice libéral est multiple et ne se limite pas aux agressions verbales ou physiques. Les conditions d'exercices rendues parfois insupportables par l'acharnement des agents des services des Cpam, les manœuvres abusives dans le but de récupérer les rémunérations d'actes correctement réalisés par les idel génèrent sans aucun doute une angoisse et une perte de confiance des professionnels qui perdent toute possibilité de projets d'avenir.
La lettre de Dominique TIAN aux infirmiers est sous enveloppe de l'Assemblée Nationale indiquant un numéro de téléphone à contacter : 01 40 63 60 00 (voir photo ci-contre). Les idel sont invités à téléphoner pour être nombreux à exprimer les craintes de la profession sur les effets de l'incohérence d'une politique de santé qu'elles ou ils sont les premiers à ressentir.
Alors, Dominique TIAN est-il le député qui pourra enfin porter dans le débat public le sort des 103 000 infirmières et infirmiers exerçant en libéral face à la situation de crise vécue par la profession ?
Nous vous proposons de lire notre prochain article dans lequel vous pourrez mieux faire connaissance avec l'intéressant parcours de ce député.
lundi 10 novembre 2014
Insécurité : P CHAMBOREDON président du Conseil Régional Paca de l'Ordre Infirmier sollicite un député pour une question à la ministre de la Santé
LETTRE DU DÉPUTE AUX IDEL
Patrick CHAMBOREDON est président du Conseil Régional de l'Ordre Infirmier de la région Paca, réélu en 2014 à se poste, dans le collège public.
Par ses fonctions de cadre hospitalier salarié de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, du fait des liens de l'AP-HM avec les élus politiques locaux (cf rôle du président du Conseil de Surveillance du sénateur maire JC GAUDIN en cliquant sur le lien suivant : http://fr.ap-hm.fr/ap-hm/organisation/conseil-de-surveillance ), P CHAMBOREDON est amené naturellement à solliciter un proche de J C GAUDIN, le député Dominique TIAN afin qu'il alerte la ministre sur le nombre croissant de violences verbales et physiques dont sont victimes les infirmiers (ières) dans le cadre de leur fonction.
QUESTION A LA MINISTRE
Une intéressante initiative pour interpeller les pouvoirs publics sur les conditions d'exercice de plus en plus difficiles des infirmiers (ières). A noter que la question posée par Dominique TIAN semble concerner surtout les infirmiers (ières) exerçant hors établissement, les problèmes des urgences et autres services des hôpitaux ne sont pas évoqués.
Un coup de pub de cet élu de la droite populaire pour surfer sur la vague de l'insécurité ? oui, c'est certain.
Alors la démarche serait-elle en mesure d'inverser la tendance depuis plusieurs années à détruire l'image de la profession par des campagnes de dénigrement orchestrées par l'assurance maladie, présentant les infirmiers (ières) dans le cadre de la lutte contre la fraude sociale comme principaux fraudeurs ?
lire la suite dans plus d'infos................
Pour répondre à la question, il est important en premier lieu de préciser que l'origine du sentiment d'insécurité constamment présent chez les infirmiers (ières) en exercice libéral est multiple et ne se limite pas aux agressions verbales ou physiques. Les conditions d'exercices rendues parfois insupportables par l'acharnement des agents des services des Cpam, les manœuvres abusives dans le but de récupérer les rémunérations d'actes correctement réalisés par les idel génèrent sans aucun doute une angoisse et une perte de confiance des professionnels qui perdent toute possibilité de projets d'avenir.
La lettre de Dominique TIAN aux infirmiers est sous enveloppe de l'Assemblée Nationale indiquant un numéro de téléphone à contacter : 01 40 63 60 00 (voir photo ci-contre). Les idel sont invités à téléphoner pour être nombreux à exprimer les craintes de la profession sur les effets de l'incohérence d'une politique de santé qu'elles ou ils sont les premiers à ressentir.
Alors, Dominique TIAN est-il le député qui pourra enfin porter dans le débat public le sort des 103 000 infirmières et infirmiers exerçant en libéral face à la situation de crise vécue par la profession ?
Nous vous proposons de lire notre prochain article dans lequel vous pourrez mieux faire connaissance avec l'intéressant parcours de ce député.