ordre infirmier : 84,2 millions d'euros de passif cumulé !
à l'ordre infirmier, plus tu joues, plus tu perds ... c'est un peu comme au Loto ou au Pmu ... sauf que c'est avec l'argent des quelques cotisants qui finiront bien bien se rendre compte (en banque) un jour ou l'autre que l'oni continue, bel et bien, a les prendre pour des gogos ... avec l'argent aussi des fournisseurs impayés sur l'ensemble du territoire, avec l'argent des Urssaf à rembourser sur 3 ans, etc ...
c'est avec ce genre d'explications fumantes et fumeuses que le trésorier essaie minablement de convaincre : "Le passif mentionné dans le bilan a, lui, augmenté de 11,8 millions d'euros, pour atteindre 84,2 millions. Ce chiffre n'est cependant pas significatif, a expliqué Jean-Yves Garnier, dans la mesure où il inclut la somme des "provisions pour risques" calculées chaque année en fonction du nombre d'infirmiers en France, mais qui ne reflète pas celui des cotisants."
les chiffres, nombreux, donnés la semaine passée par le trésorier de l'ordre et largement publiés dans la presse sont trop exacts pour être vrais tant il est coutumier pour l'oni de raconter des balivernes pour essayer, tant mal que bien, de noyer la sardine dans le Vieux Port de Marseille ...
les chiffres détaillés, non publiés par l'ordre, sont eux autrement plus instructifs et témoignent de la gabegie ordinale maintenant installée sous trois présidences, celle en cours n'étant pas la moins farfelue ... c'est ainsi que l'ordre passe son temps à gagner du temps pour éviter une cessation de paiement qui arrivera, un jour ou l'autre, puisque maintenant les infirmières ont bien compris qu'il ne fallait plus payer pour - enfin - parvenir à étouffer l'oni et en obtenir l'abrogation financière à défaut de voir les politiques tenir leurs vaines promesses ...
ainsi nous aurons, en plus, la satisfaction pleine et entière d'avoir fait le "sale boulot" nous même, malgré les menaces, le chantage, les insultes cachées derrière des pseudos qui transpirent, malgré les citations à comparaître devant les tribunaux pour essayer de faire taire RESILIENCE qui vient de voir son combat légitimé, une fois de plus, par les révélations des 4 conseillers démissionnaires et la publication de l'état toujour plus désastreux des finances ordinales ...
pour en être depuis le début de l'aventure ordinale, l'équipe dirigeante actuelle essaie aussi de charge la barque des présidences précédentes pour essayer de se refaire une virginité vis à vis des banques et autres institutions partenaires du désordre infirmier ... faut-il que les intérêts qui sont - tout sauf infirmier - en jeu soient alléchants pour que l'ordre continue à fonctionner d'une telle insuffisante manière quand n'importe qu'elle autre entreprise aurait mis la clef sous le paillasson et aurait été réduite à néant par les créanciers qui ne font jamais de sentiments ?
faut-il encore que les banques qui soutiennent abusivement l'oni aient, elles aussi, d'autres intérêts que financiers à vouloir parrainer un challenge voué à sa perte, depuis le départ ?
faut-il enfin que les responsables d'hier et d'aujourd'hui, les mêmes, soient contraints et forcés de continuer à faire fonctionner un ordre professionnel toujours plus rejeté, qui ne reçoit que 60% de cotisations du nombre total des adhérents inscrit au fichier ?
non décidément non : il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans cette navrante histoire qui restera longtemps comme une insulte à la face de la profession infirmière, il faudra - nous y veillerons - que les responsables identifiés de cette honte infirmière rendent des comptes devant la justice, au nom du peuple infirmier !
à l'ordre infirmier, plus tu joues, plus tu perds ... c'est un peu comme au Loto ou au Pmu ... sauf que c'est avec l'argent des quelques cotisants qui finiront bien bien se rendre compte (en banque) un jour ou l'autre que l'oni continue, bel et bien, a les prendre pour des gogos ... avec l'argent aussi des fournisseurs impayés sur l'ensemble du territoire, avec l'argent des Urssaf à rembourser sur 3 ans, etc ...
c'est avec ce genre d'explications fumantes et fumeuses que le trésorier essaie minablement de convaincre : "Le passif mentionné dans le bilan a, lui, augmenté de 11,8 millions d'euros, pour atteindre 84,2 millions. Ce chiffre n'est cependant pas significatif, a expliqué Jean-Yves Garnier, dans la mesure où il inclut la somme des "provisions pour risques" calculées chaque année en fonction du nombre d'infirmiers en France, mais qui ne reflète pas celui des cotisants."
les chiffres, nombreux, donnés la semaine passée par le trésorier de l'ordre et largement publiés dans la presse sont trop exacts pour être vrais tant il est coutumier pour l'oni de raconter des balivernes pour essayer, tant mal que bien, de noyer la sardine dans le Vieux Port de Marseille ...
les chiffres détaillés, non publiés par l'ordre, sont eux autrement plus instructifs et témoignent de la gabegie ordinale maintenant installée sous trois présidences, celle en cours n'étant pas la moins farfelue ... c'est ainsi que l'ordre passe son temps à gagner du temps pour éviter une cessation de paiement qui arrivera, un jour ou l'autre, puisque maintenant les infirmières ont bien compris qu'il ne fallait plus payer pour - enfin - parvenir à étouffer l'oni et en obtenir l'abrogation financière à défaut de voir les politiques tenir leurs vaines promesses ...
ainsi nous aurons, en plus, la satisfaction pleine et entière d'avoir fait le "sale boulot" nous même, malgré les menaces, le chantage, les insultes cachées derrière des pseudos qui transpirent, malgré les citations à comparaître devant les tribunaux pour essayer de faire taire RESILIENCE qui vient de voir son combat légitimé, une fois de plus, par les révélations des 4 conseillers démissionnaires et la publication de l'état toujour plus désastreux des finances ordinales ...
pour en être depuis le début de l'aventure ordinale, l'équipe dirigeante actuelle essaie aussi de charge la barque des présidences précédentes pour essayer de se refaire une virginité vis à vis des banques et autres institutions partenaires du désordre infirmier ... faut-il que les intérêts qui sont - tout sauf infirmier - en jeu soient alléchants pour que l'ordre continue à fonctionner d'une telle insuffisante manière quand n'importe qu'elle autre entreprise aurait mis la clef sous le paillasson et aurait été réduite à néant par les créanciers qui ne font jamais de sentiments ?
faut-il encore que les banques qui soutiennent abusivement l'oni aient, elles aussi, d'autres intérêts que financiers à vouloir parrainer un challenge voué à sa perte, depuis le départ ?
faut-il enfin que les responsables d'hier et d'aujourd'hui, les mêmes, soient contraints et forcés de continuer à faire fonctionner un ordre professionnel toujours plus rejeté, qui ne reçoit que 60% de cotisations du nombre total des adhérents inscrit au fichier ?
non décidément non : il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans cette navrante histoire qui restera longtemps comme une insulte à la face de la profession infirmière, il faudra - nous y veillerons - que les responsables identifiés de cette honte infirmière rendent des comptes devant la justice, au nom du peuple infirmier !