ordre infirmier : enfoncer des portes ouvertes ...
joli coup de pub pour l'honni qui, depuis 2 jours, défraye la chronique avec les résultats de sa "grande enquête" à laquelle a répondu ... 3,42 % de la profession ...
comment enfoncer des portes ouvertes quand - par effet d'annonce - on diffuse partout que la sécurité et la qualité des soins ne sont plus de mises dans notre système actuel de Santé, réputé être, pourtant, le meilleur au monde ?
comment l'ordre explique sans le prouver, avec des chiffres biaisés, que les infirmières qui chaque jour se battent sur le terrain du soin - au chevet du patient - avalent toujours plus de couleuvres, quand sur la pénurie de blouses blanches, quand sur la pénibilité toujours plus affirmée d'une profession qui peine à recruter, quand sur la dangerosité pour les personnels soignants, etc ?
quand ce même ordre infirmier, ruiné financièrement et discrédité moralement, se targue de représenter la profession et qu'il ne passe son temps qu'à la diviser, qu'à l'humilier de par ses comportements et sa gouvernance interne, quand les aboyeurs n'ont pas été réélus au but de leur mandat et qu'ils se maintiennent à coup de décret ministériel aussi inique qu'illégitime, quand ils sont pieds et mains liés au gouvernement sur lequel ils essaient - bien maladroitement - de cogner ?
quand les législateurs (mdr) demandent au ministre de la Santé de régulariser - par décret - des irrégularités de fonctionnement commises tous les jours sur le territoire français par un ordre national qui n'a pas les moyens juridiques de son existence ?
quand ces mêmes illégitimes nous déclarent illégaux dans l'exercice quotidien de ce qui devient chaque jour un peu plus un sacerdoce ne sont pas capables de se présenter devant leurs pairs en organisant des élections professionnelles qui leurs seraient - ils le savent ! - fatales ?
quand ils s'érigent en juges de la profession dans des chambres disciplinaires où la magouille est le fil conducteur qui opposent les professionnels, victimes, entre eux ...
halte au gag mesdames et messieurs de la rue saint âne !
la honte infirmière que vous saupoudrez sur nos blouses blanches n'a d'égale que vos insuffisances quotidiennes, sources de quolibets et de moqueries nationaux ...
joli coup de pub pour l'honni qui, depuis 2 jours, défraye la chronique avec les résultats de sa "grande enquête" à laquelle a répondu ... 3,42 % de la profession ...
comment enfoncer des portes ouvertes quand - par effet d'annonce - on diffuse partout que la sécurité et la qualité des soins ne sont plus de mises dans notre système actuel de Santé, réputé être, pourtant, le meilleur au monde ?
comment l'ordre explique sans le prouver, avec des chiffres biaisés, que les infirmières qui chaque jour se battent sur le terrain du soin - au chevet du patient - avalent toujours plus de couleuvres, quand sur la pénurie de blouses blanches, quand sur la pénibilité toujours plus affirmée d'une profession qui peine à recruter, quand sur la dangerosité pour les personnels soignants, etc ?
quand ce même ordre infirmier, ruiné financièrement et discrédité moralement, se targue de représenter la profession et qu'il ne passe son temps qu'à la diviser, qu'à l'humilier de par ses comportements et sa gouvernance interne, quand les aboyeurs n'ont pas été réélus au but de leur mandat et qu'ils se maintiennent à coup de décret ministériel aussi inique qu'illégitime, quand ils sont pieds et mains liés au gouvernement sur lequel ils essaient - bien maladroitement - de cogner ?
quand les législateurs (mdr) demandent au ministre de la Santé de régulariser - par décret - des irrégularités de fonctionnement commises tous les jours sur le territoire français par un ordre national qui n'a pas les moyens juridiques de son existence ?
quand ces mêmes illégitimes nous déclarent illégaux dans l'exercice quotidien de ce qui devient chaque jour un peu plus un sacerdoce ne sont pas capables de se présenter devant leurs pairs en organisant des élections professionnelles qui leurs seraient - ils le savent ! - fatales ?
quand ils s'érigent en juges de la profession dans des chambres disciplinaires où la magouille est le fil conducteur qui opposent les professionnels, victimes, entre eux ...
halte au gag mesdames et messieurs de la rue saint âne !
la honte infirmière que vous saupoudrez sur nos blouses blanches n'a d'égale que vos insuffisances quotidiennes, sources de quolibets et de moqueries nationaux ...