ordre infirmier : la grosse farce ...
plus on avance dans le temps, plus la farce ordinale, qui sert à "fourrer" les infirmières au quotidien prend un goût amer et repoussant : beurk ...
le nouveau chef cuistot improvise des recettes toujours moins élaborées, le menu est de moins en moins alléchant mais la note reste, elle, toujours aussi salée, donc indigeste ...
le second passe son temps à essayer de re motiver la brigade en voulant faire du neuf avec du vieux, à essayer de faire prendre des vessies pour des lanternes à ses apprentis, mais la sauce ne prend plus, la mayonnaise refuse de monter, apprentis non payés depuis des mois,
le directeur du restau est un pur financier qui ne pense qu'à s'engraisser sur le dos des dindes toujours plus maigres, l'âme infirmière ayant totalement disparu de cette cantine professionnelle où seuls les cafards ordinaux trouvent encore quelques miettes à avaler en guise de collation,
il en est ainsi de la nouvelle cuisine infirmière comme de cette nouvelle vague qui consiste à payer plus pour avoir moins, celle que nous rejeterons toujours et encore car nous sommes habitués à mieux, préférant les recettes de grand mère qui avaient du goût et qui nous obligeaient à nous pourlécher les babines, aux plats fades et insipides que l'on veut absolument nous faire ingurgiter,
l'enseigne culinaire ordinale est décidément passée de mode et les franchisés ferment leurs locaux, en province, en oubliant d'éteindre la lumière, laissant leurs toques blanches sur le carreau, et les factures aux fournisseurs qui avaient cru, eux aussi, pouvoir se servir sur la bête ...
les apprentis sauciers et autres alchimistes réunis sous l'enseigne du groupe saint âne, hébergés dans la rue du même nom, devront se faire à l'évidence, la mousse au chocolat reste désespérement liquide et vomitive, elle ne prend pas, la clientèle déserte et le tiroir caisse se vide sans espoir aucun,
à vouloir faire dans la nouveauté, à s'entêter dans le farfelu, le grotesque et l'artificiel, le chef cuistot ordinal a définitivement perdu toute possibilité de faire revenir sa clientèle infirmière à sa table, clientèle dégoûtée à jamais, clientèle habituée au solide, au bon goût, au vrai ...
cerise sur le gâteau : les critiques veillent au grain pour que cette aventure ne puisse ressortir sous une autre enseigne de façade avec le même vide en coulisse, que cette adresse ne figure plus au bottin culinaire qui fait honte à la France, tant il est vrai que les mauvaises herbes - y compris celles qui sont utilisées en cuisine - repoussent aussi vite qu'elles ont été coupées ...
plus on avance dans le temps, plus la farce ordinale, qui sert à "fourrer" les infirmières au quotidien prend un goût amer et repoussant : beurk ...
le nouveau chef cuistot improvise des recettes toujours moins élaborées, le menu est de moins en moins alléchant mais la note reste, elle, toujours aussi salée, donc indigeste ...
le second passe son temps à essayer de re motiver la brigade en voulant faire du neuf avec du vieux, à essayer de faire prendre des vessies pour des lanternes à ses apprentis, mais la sauce ne prend plus, la mayonnaise refuse de monter, apprentis non payés depuis des mois,
le directeur du restau est un pur financier qui ne pense qu'à s'engraisser sur le dos des dindes toujours plus maigres, l'âme infirmière ayant totalement disparu de cette cantine professionnelle où seuls les cafards ordinaux trouvent encore quelques miettes à avaler en guise de collation,
il en est ainsi de la nouvelle cuisine infirmière comme de cette nouvelle vague qui consiste à payer plus pour avoir moins, celle que nous rejeterons toujours et encore car nous sommes habitués à mieux, préférant les recettes de grand mère qui avaient du goût et qui nous obligeaient à nous pourlécher les babines, aux plats fades et insipides que l'on veut absolument nous faire ingurgiter,
l'enseigne culinaire ordinale est décidément passée de mode et les franchisés ferment leurs locaux, en province, en oubliant d'éteindre la lumière, laissant leurs toques blanches sur le carreau, et les factures aux fournisseurs qui avaient cru, eux aussi, pouvoir se servir sur la bête ...
les apprentis sauciers et autres alchimistes réunis sous l'enseigne du groupe saint âne, hébergés dans la rue du même nom, devront se faire à l'évidence, la mousse au chocolat reste désespérement liquide et vomitive, elle ne prend pas, la clientèle déserte et le tiroir caisse se vide sans espoir aucun,
à vouloir faire dans la nouveauté, à s'entêter dans le farfelu, le grotesque et l'artificiel, le chef cuistot ordinal a définitivement perdu toute possibilité de faire revenir sa clientèle infirmière à sa table, clientèle dégoûtée à jamais, clientèle habituée au solide, au bon goût, au vrai ...
cerise sur le gâteau : les critiques veillent au grain pour que cette aventure ne puisse ressortir sous une autre enseigne de façade avec le même vide en coulisse, que cette adresse ne figure plus au bottin culinaire qui fait honte à la France, tant il est vrai que les mauvaises herbes - y compris celles qui sont utilisées en cuisine - repoussent aussi vite qu'elles ont été coupées ...