désinscription à l'ordre infirmier
suite aux (très) nombreuses demandes d'informations reçues ces dernières semaines par RESILIENCE, au sujet du processus de désinscription à l'ordre infirmier, nous vous informons que :
cette demande de désinscription doit être adressée directement à votre cdoi (celui où vous êtes inscrit actuellement si changement entre temps), en lettre recommandée avec accusé de réception, sur papier libre, en indiquant votre numéro d'ordre afin de faciliter les formalités à un ordre toujours plus cafouilleux,
que l'ordre infirmier - votre cdoi - ne peut pas vous refuser cette désinscription, inscrite dans les textes, que les tentatives de menaces ou autres intimidations ne doivent en aucun cas vous faire hésiter,
que cette demande de désinscription aura pour simple effet de vous faire rejoindre le clan des quelques 400 000 non inscrits qui exercent toujours dans l'illégalité, en toute sérénité,
que cette demande ne vous donnera pas droit au remboursement de la cotisation en cours mais qu'elle vous exonèrera de payer la suivante, à compter du 01 mai 2012,
que le ministre de la Santé à rappelé publiquement (voir vidéo sur Actusoins : http://www.actusoins.com/10538/xavier-bertrand-ca-ne-sert-a-rien-de-dire-que-tout-va-mal.html ), une fois de plus, à Lyon vendredi dernier qu'il n'était pas question d'obliger les infirmières salariées à s'inscrire à l'ordre,
nous invitons, d'autre part, les infirmières qui sont dans l'impossibilité de continuer à exercer, notamment en libéral, du fait des incompétences de l'ordre infirmier (réponses non parvenues à temps des demandes d'inscription, refus des cpam de délivrer un conventionnement, etc ...) de se rapprocher de RESILIENCE afin d'étudier les possibilités de recours auprès des tribunaux,
enfin, nous vous rappelons que le paiement de la cotisation ne peut être exigé au moment de l'adhésion, cela aussi est écrit dans les textes,
RESILIENCE vous demande de soutenir son action visant à obtenir l'abrogation de l'ordre infirmier en diffusant ces informations auprès de vos collègues,
suite aux (très) nombreuses demandes d'informations reçues ces dernières semaines par RESILIENCE, au sujet du processus de désinscription à l'ordre infirmier, nous vous informons que :
cette demande de désinscription doit être adressée directement à votre cdoi (celui où vous êtes inscrit actuellement si changement entre temps), en lettre recommandée avec accusé de réception, sur papier libre, en indiquant votre numéro d'ordre afin de faciliter les formalités à un ordre toujours plus cafouilleux,
que l'ordre infirmier - votre cdoi - ne peut pas vous refuser cette désinscription, inscrite dans les textes, que les tentatives de menaces ou autres intimidations ne doivent en aucun cas vous faire hésiter,
que cette demande de désinscription aura pour simple effet de vous faire rejoindre le clan des quelques 400 000 non inscrits qui exercent toujours dans l'illégalité, en toute sérénité,
que cette demande ne vous donnera pas droit au remboursement de la cotisation en cours mais qu'elle vous exonèrera de payer la suivante, à compter du 01 mai 2012,
que le ministre de la Santé à rappelé publiquement (voir vidéo sur Actusoins : http://www.actusoins.com/10538/xavier-bertrand-ca-ne-sert-a-rien-de-dire-que-tout-va-mal.html ), une fois de plus, à Lyon vendredi dernier qu'il n'était pas question d'obliger les infirmières salariées à s'inscrire à l'ordre,
nous invitons, d'autre part, les infirmières qui sont dans l'impossibilité de continuer à exercer, notamment en libéral, du fait des incompétences de l'ordre infirmier (réponses non parvenues à temps des demandes d'inscription, refus des cpam de délivrer un conventionnement, etc ...) de se rapprocher de RESILIENCE afin d'étudier les possibilités de recours auprès des tribunaux,
enfin, nous vous rappelons que le paiement de la cotisation ne peut être exigé au moment de l'adhésion, cela aussi est écrit dans les textes,
RESILIENCE vous demande de soutenir son action visant à obtenir l'abrogation de l'ordre infirmier en diffusant ces informations auprès de vos collègues,