chronique ordinaire de la vie ordinale ...
nous pensions, ce dimanche, pouvoir prendre le temps du repos bien mérité, accordé aux guerriers en période de conflit, afin de mieux continuer à déboulonner l'oni la semaine prochaine et suivantes,
eh bien non !
nos ennemis ordinaux, qui décidément nous surpendront tou(sles)jours ne savent pas faire autre chose que des bêtises, grosses de préférence, histoire de se ridiculiser et de ridiculiser encore un peu plus la profession, dont monsieur le président Borniche a décrété jeudi dernier qu'il était élu pour en assurer l'unité et la promotion ...
très critiqué en interne (c'est à boulets rouges que des ordinaux du cnoi tirent sur le bureau national: "nous boirons donc la coupe jusqu'à la lie") désavoué en externe par ses propres troupes avec l'installation récente d'un squatt résistant ordinal dans les Ardennes quand d'autres, comme dans le 70, démissionnent en bloc et rendent les clefs à la mairie, cible d'un front massif des syndicats infirmiers, tous confondus (à part le SNIIL et le SNPI), l'ordre infirmier national vient de prendre une gifle supplémentaire sans même, semble t-il, qu'il n'en soit informé ...
RESILIENCE se fait donc un devoir d'informer, tout en respectant la volonté des intéressés de ne pas citer leurs noms, qu'une autre procédure judiciaire est en cours, pour le motif de diffamation, nous n'en dirons pas plus dans l'immédiat ...
comme lu dans la presse jeudi dernier, (extrait) : "Didier Borniche a souligné avec force que « l'Ordre est une chance pour fédérer l'ensemble des énergies et travailler tous ensemble à l'unification, la valorisation et l'autonomie de la profession et qu'en la matière le ménage à trois - syndicats, associations professionnelles, ONI - est possible et, au-delà, souhaitable ».
il n'aura pas fallu 3 jours à l'ordre infirmier dispersé pour faire le contraire de ce qu'il annonce à la presse infirmière ... c'est à dire, diviser, de préférence devant les tribunaux, en utilisant l'argent des cotisations infirmières récoltées sous la menace pour attaquer d'autres infirmières, comme les ISPV du 28, RESILIENCE posant ouvertement la question de savoir s'il y a réellement un pilote dans la carlingue ordinale ?
RESILIENCE apporte, d'ores et déjà, son soutien inconditionnel aux collègues qui rejoignent le club très fermé (apparemment plus pour très longtemps) des opposantes attaquées - devant les tribunaux - par l'ordre infirmier pour avoir oser critiquer la pensée ordinale !
nous pensions, ce dimanche, pouvoir prendre le temps du repos bien mérité, accordé aux guerriers en période de conflit, afin de mieux continuer à déboulonner l'oni la semaine prochaine et suivantes,
eh bien non !
nos ennemis ordinaux, qui décidément nous surpendront tou(sles)jours ne savent pas faire autre chose que des bêtises, grosses de préférence, histoire de se ridiculiser et de ridiculiser encore un peu plus la profession, dont monsieur le président Borniche a décrété jeudi dernier qu'il était élu pour en assurer l'unité et la promotion ...
très critiqué en interne (c'est à boulets rouges que des ordinaux du cnoi tirent sur le bureau national: "nous boirons donc la coupe jusqu'à la lie") désavoué en externe par ses propres troupes avec l'installation récente d'un squatt résistant ordinal dans les Ardennes quand d'autres, comme dans le 70, démissionnent en bloc et rendent les clefs à la mairie, cible d'un front massif des syndicats infirmiers, tous confondus (à part le SNIIL et le SNPI), l'ordre infirmier national vient de prendre une gifle supplémentaire sans même, semble t-il, qu'il n'en soit informé ...
RESILIENCE se fait donc un devoir d'informer, tout en respectant la volonté des intéressés de ne pas citer leurs noms, qu'une autre procédure judiciaire est en cours, pour le motif de diffamation, nous n'en dirons pas plus dans l'immédiat ...
comme lu dans la presse jeudi dernier, (extrait) : "Didier Borniche a souligné avec force que « l'Ordre est une chance pour fédérer l'ensemble des énergies et travailler tous ensemble à l'unification, la valorisation et l'autonomie de la profession et qu'en la matière le ménage à trois - syndicats, associations professionnelles, ONI - est possible et, au-delà, souhaitable ».
il n'aura pas fallu 3 jours à l'ordre infirmier dispersé pour faire le contraire de ce qu'il annonce à la presse infirmière ... c'est à dire, diviser, de préférence devant les tribunaux, en utilisant l'argent des cotisations infirmières récoltées sous la menace pour attaquer d'autres infirmières, comme les ISPV du 28, RESILIENCE posant ouvertement la question de savoir s'il y a réellement un pilote dans la carlingue ordinale ?
RESILIENCE apporte, d'ores et déjà, son soutien inconditionnel aux collègues qui rejoignent le club très fermé (apparemment plus pour très longtemps) des opposantes attaquées - devant les tribunaux - par l'ordre infirmier pour avoir oser critiquer la pensée ordinale !