Lesinfirmières Encolère
"Le catalogue des promesses électorales non tenues depuis 30 ans est plus épais que celui des 3 suisses."
ON CONTINUE : la colère infirmière, la colère des français ne faiblit pas.
Depuis des années, élections après élections, les alertes et les messages envoyés à la classe politique par les électeurs dégoûtés et ulcérés ont été ignorés par les politiciens toujours plus soucieux de préserver leur pré carré, de continuer à cumuler contrairement aux promesses faîtes, voire de retourner leur veste une fois élus, au mépris de l'intérêt général. Les toujours mêmes qui veulent se maintenir quand on ne veut plus les voir !
Les partis dits républicains sont effondrés et la poussée du refus est encore, cette fois ci, plus forte et affirmée que les précédentes, le phénomène Charlie post attentat, en avril et en décembre, ne suffit pas à masquer la désillusion des français face à une classe politique qui n'a comme seul projet que "faire barrage au front national", en rejetant minablement la faute sur le camp d'en face et en oubliant de se poser la seule question importante : pourquoi en sommes nous arrivés là ?
Les pleureuses télévisuelles du dimanche soir veulent, une fois de trop, nous faire la leçon en appelant à voter contre "les extrêmes" qui sont toujours plus nombreux mais ont déjà oublié que - une fois encore - plus d'un français sur deux n'est pas allé voter !
Les priorités des politiciens ne sont pas les nôtres à la veille des fêtes de fin d'année quand toujours plus de personnes souffrent de ne pas avoir d'emploi, de ne plus manger à leur faim, de ne plus avoir de toit, de ne plus pouvoir se soigner faute d'argent, de se sentir abandonnés tels des réfugiés qui viennent maintenant s'installer devant leur porte pour mieux encore leur renvoyer une image dégradée, au quotidien, de leur propre condition.
Un chef de l'Etat français à peine élu, par défaut en 2012, et déjà candidat à sa réélection en 2017, qui passe plusieurs semaines à étudier la dette grecque dans son bureau - pour préserver les seuls intérêts de la finance européenne - en entubant à deux reprises, le peuple grec qui s'est pourtant prononcé contre. Un ex chef de l'Etat, redevenu chef de parti, qui n'a toujours pas compris que les français l'avaient viré en 2012 et qui n'a comme seul programme à nous proposer que sa rancune et des solutions miracles non mises en place en 2007 ?
Un premier ministre qui a osé, 3 semaines avant les régionales, proposer une union républicaine UMPS de "dernier recours" et qui se retrouve - lui aussi - désavoué par ses propres amis politiques qui ont décidé de ne plus écouter les consignes parisiennes !
Décidément la classe politique est en décalage avec les citoyens ... quoiqu'il en soit, nous devons une fois pour toutes faire table rase de cette mafia politique nauséabonde, tous horizons confondus. Le système voulu par le général de Gaulle est à bout de souffle 50 ans après.
A de très rares exceptions, les électeurs qui se défoulent "dans les urnes pour leur mettre dans les burnes" ne sont pas des fachos. Ils sont écœurés par ces mêmes bouffons, tel le député socialiste Carlos Da Silva, qui ose traiter publiquement les électeurs du FN de fachos, ce dimanche 6 décembre en rajoutant un peu plus d'huile sur la flamme frontiste. Les combines des appareils et des partis politiques ne suffisent plus à nous "faire prendre des vessies pour des lanternes".
Le catalogue des promesses électorales non tenues depuis 30 ans est plus épais que celui des 3 suisses.
https://www.facebook.com/lesinfirmieres.encolere
"Le catalogue des promesses électorales non tenues depuis 30 ans est plus épais que celui des 3 suisses."
ON CONTINUE : la colère infirmière, la colère des français ne faiblit pas.
Depuis des années, élections après élections, les alertes et les messages envoyés à la classe politique par les électeurs dégoûtés et ulcérés ont été ignorés par les politiciens toujours plus soucieux de préserver leur pré carré, de continuer à cumuler contrairement aux promesses faîtes, voire de retourner leur veste une fois élus, au mépris de l'intérêt général. Les toujours mêmes qui veulent se maintenir quand on ne veut plus les voir !
Les partis dits républicains sont effondrés et la poussée du refus est encore, cette fois ci, plus forte et affirmée que les précédentes, le phénomène Charlie post attentat, en avril et en décembre, ne suffit pas à masquer la désillusion des français face à une classe politique qui n'a comme seul projet que "faire barrage au front national", en rejetant minablement la faute sur le camp d'en face et en oubliant de se poser la seule question importante : pourquoi en sommes nous arrivés là ?
Les pleureuses télévisuelles du dimanche soir veulent, une fois de trop, nous faire la leçon en appelant à voter contre "les extrêmes" qui sont toujours plus nombreux mais ont déjà oublié que - une fois encore - plus d'un français sur deux n'est pas allé voter !
Les priorités des politiciens ne sont pas les nôtres à la veille des fêtes de fin d'année quand toujours plus de personnes souffrent de ne pas avoir d'emploi, de ne plus manger à leur faim, de ne plus avoir de toit, de ne plus pouvoir se soigner faute d'argent, de se sentir abandonnés tels des réfugiés qui viennent maintenant s'installer devant leur porte pour mieux encore leur renvoyer une image dégradée, au quotidien, de leur propre condition.
Un chef de l'Etat français à peine élu, par défaut en 2012, et déjà candidat à sa réélection en 2017, qui passe plusieurs semaines à étudier la dette grecque dans son bureau - pour préserver les seuls intérêts de la finance européenne - en entubant à deux reprises, le peuple grec qui s'est pourtant prononcé contre. Un ex chef de l'Etat, redevenu chef de parti, qui n'a toujours pas compris que les français l'avaient viré en 2012 et qui n'a comme seul programme à nous proposer que sa rancune et des solutions miracles non mises en place en 2007 ?
Un premier ministre qui a osé, 3 semaines avant les régionales, proposer une union républicaine UMPS de "dernier recours" et qui se retrouve - lui aussi - désavoué par ses propres amis politiques qui ont décidé de ne plus écouter les consignes parisiennes !
Décidément la classe politique est en décalage avec les citoyens ... quoiqu'il en soit, nous devons une fois pour toutes faire table rase de cette mafia politique nauséabonde, tous horizons confondus. Le système voulu par le général de Gaulle est à bout de souffle 50 ans après.
A de très rares exceptions, les électeurs qui se défoulent "dans les urnes pour leur mettre dans les burnes" ne sont pas des fachos. Ils sont écœurés par ces mêmes bouffons, tel le député socialiste Carlos Da Silva, qui ose traiter publiquement les électeurs du FN de fachos, ce dimanche 6 décembre en rajoutant un peu plus d'huile sur la flamme frontiste. Les combines des appareils et des partis politiques ne suffisent plus à nous "faire prendre des vessies pour des lanternes".
Le catalogue des promesses électorales non tenues depuis 30 ans est plus épais que celui des 3 suisses.
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