reçu sur alloresilience :
POURQUOI L'ORDRE DES INFIRMIERS NE REMPLIT PAS SES MISSIONS ET NE LES REMPLIRA JAMAIS
XXXXXXXX
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. Lors des dernières élections ordinales, les conseillers sortant se sont auto-réélus, au regard du faible taux de participation de la profession. ( Ce sont les conseillers euxmêmes qui se sont élus entre eux selon un principe Républicain et Constitutionnel inédit : du sommet vers la base, à savoir : les conseillers nationaux ont élu les conseillers régionaux, qui ont élus, parfois, les conseillers départementaux.) Tintin au pays des Soviets... Pourquoi parfois ? Parce dans un nombre significatif de départements, les anciens conseillers ou leurs suppléants n'ont même pas osé se représenter, tellement ils étaient écoeurés de leur précédent mandat.
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. La gestion de la masse financière espérée ( grâce aux cotisations ), a fait vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Ainsi, anciens dirigeants nationaux, et ceux toujours en place ont-ils allègrement vécu grand train sur le dos de la BPCE, qui leur a ouvert une ligne de crédit, s'étant rapidement transformée en découvert abyssal et chronique. Nous avons tous autour de nous l'expérience désastreuse de petits artisans ou commerçants, écrasés par les taxes et/ou mauvaise fortune, qui ont perdu simultanément patrimoine, droits civiques, sommeil (et parfois conjoint), pour un découvert bancaire largement inférieure à celui que nous communique l'ordre dans l'information de ses « comptes annuels ».
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. La gestion du recensement des membres de la profession est le reflet d'une impasse notoire devant l'importante difficulté que même les ARS, pourtant investies d'une mission de Service Public, ont assumé depuis des décennies, avec une marge « d'erreur », difficilement contrôlable en raison de l'extrême mobilité de la profession. Confier cette mission à l'Ordre était une gageure, partant avec un important handicap..., non surmonté. En résumé, les chiffres sont faux.
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. Confier aux aficionados départementaux et régionaux l'épineuse question des litiges intra-professionnels pour les libéraux, et litiges avec les patients, nécessite une formation d'expertise, qu'aucun conseiller n'a semblé suivre malgré un minimum d'honnêteté intellectuelle, et d'exigence personnelle. Souvent, cette délicate mission a été conduite par des élus ordinaux libéraux, souvent appelées baronnies locales, beaucoup plus soucieux de conserver leurs pré-carré clientéliste, que de procurer confort et soins auprès des patients eux-mêmes. Des dizaines de cas recensés à travers toute la France depuis les grandes manœuvres disciplinaires des quatre dernières années alimentent dorénavant nombre de forums ou de blogs sur l'internet. En résumé : un loup dans la bergerie...
Afin de ne pas surcharger cette diatribe contre-ordinale, je vous fais ici l'économie du détails de ces actions misérables, pour ne pas dire minables et despotiques. Encore Tintin au pays des Soviets... Je tiens néanmoins à votre disposition plus de 1280 feuillets dénonciateurs des exactions ordinales, déjà soumises à la lecture de Madame Annie Le Houerou, le mardi 12 mars 2013. Madame Le Houerou a été l'une des premières à mesurer avec justesse et objectivité les actions ordinales passées, elle est venue personnellement réaffirmer ses convictions, et déceptions de la politique gouvernementale actuelle lors de la réunion du 28 octobre 2015, à laquelle j'ai également participé.
Est-il nécessaire de rappeler la position résolument anti-Ordres ( tous Ordres confondus ), des candidats Mrs Mitterrand, Hollande, et Mme Touraine, avant les élections les ayant portés au Pouvoir. Mais quel pouvoir ? Celui de renier leurs promesses électorales ? Pour quels motifs/profits ? L'Histoire ne retiendra certainement pas ces misérables calculs électoraux. C'est pourtant sur une base de plus de 480.000 infirmières, soit 480.000 électrices et électeurs que repose dorénavant la sanction des prochains votes qui feront de chacun d'entre vous des élus respectables et reconduits, ou des déchus amèrement repentants de ne pas avoir écouté les fondamentaux citoyens.
Souvenons-nous de 1789 où la parole a été reprise par le Peuple.
Fait à Paris, le 17 novembre 2015.
6ème année sous l'Occupation Ordinale
POURQUOI L'ORDRE DES INFIRMIERS NE REMPLIT PAS SES MISSIONS ET NE LES REMPLIRA JAMAIS
XXXXXXXX
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. Lors des dernières élections ordinales, les conseillers sortant se sont auto-réélus, au regard du faible taux de participation de la profession. ( Ce sont les conseillers euxmêmes qui se sont élus entre eux selon un principe Républicain et Constitutionnel inédit : du sommet vers la base, à savoir : les conseillers nationaux ont élu les conseillers régionaux, qui ont élus, parfois, les conseillers départementaux.) Tintin au pays des Soviets... Pourquoi parfois ? Parce dans un nombre significatif de départements, les anciens conseillers ou leurs suppléants n'ont même pas osé se représenter, tellement ils étaient écoeurés de leur précédent mandat.
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. La gestion de la masse financière espérée ( grâce aux cotisations ), a fait vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Ainsi, anciens dirigeants nationaux, et ceux toujours en place ont-ils allègrement vécu grand train sur le dos de la BPCE, qui leur a ouvert une ligne de crédit, s'étant rapidement transformée en découvert abyssal et chronique. Nous avons tous autour de nous l'expérience désastreuse de petits artisans ou commerçants, écrasés par les taxes et/ou mauvaise fortune, qui ont perdu simultanément patrimoine, droits civiques, sommeil (et parfois conjoint), pour un découvert bancaire largement inférieure à celui que nous communique l'ordre dans l'information de ses « comptes annuels ».
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. La gestion du recensement des membres de la profession est le reflet d'une impasse notoire devant l'importante difficulté que même les ARS, pourtant investies d'une mission de Service Public, ont assumé depuis des décennies, avec une marge « d'erreur », difficilement contrôlable en raison de l'extrême mobilité de la profession. Confier cette mission à l'Ordre était une gageure, partant avec un important handicap..., non surmonté. En résumé, les chiffres sont faux.
Les infirmiers sont, et restent, des infirmiers. Confier aux aficionados départementaux et régionaux l'épineuse question des litiges intra-professionnels pour les libéraux, et litiges avec les patients, nécessite une formation d'expertise, qu'aucun conseiller n'a semblé suivre malgré un minimum d'honnêteté intellectuelle, et d'exigence personnelle. Souvent, cette délicate mission a été conduite par des élus ordinaux libéraux, souvent appelées baronnies locales, beaucoup plus soucieux de conserver leurs pré-carré clientéliste, que de procurer confort et soins auprès des patients eux-mêmes. Des dizaines de cas recensés à travers toute la France depuis les grandes manœuvres disciplinaires des quatre dernières années alimentent dorénavant nombre de forums ou de blogs sur l'internet. En résumé : un loup dans la bergerie...
Afin de ne pas surcharger cette diatribe contre-ordinale, je vous fais ici l'économie du détails de ces actions misérables, pour ne pas dire minables et despotiques. Encore Tintin au pays des Soviets... Je tiens néanmoins à votre disposition plus de 1280 feuillets dénonciateurs des exactions ordinales, déjà soumises à la lecture de Madame Annie Le Houerou, le mardi 12 mars 2013. Madame Le Houerou a été l'une des premières à mesurer avec justesse et objectivité les actions ordinales passées, elle est venue personnellement réaffirmer ses convictions, et déceptions de la politique gouvernementale actuelle lors de la réunion du 28 octobre 2015, à laquelle j'ai également participé.
Est-il nécessaire de rappeler la position résolument anti-Ordres ( tous Ordres confondus ), des candidats Mrs Mitterrand, Hollande, et Mme Touraine, avant les élections les ayant portés au Pouvoir. Mais quel pouvoir ? Celui de renier leurs promesses électorales ? Pour quels motifs/profits ? L'Histoire ne retiendra certainement pas ces misérables calculs électoraux. C'est pourtant sur une base de plus de 480.000 infirmières, soit 480.000 électrices et électeurs que repose dorénavant la sanction des prochains votes qui feront de chacun d'entre vous des élus respectables et reconduits, ou des déchus amèrement repentants de ne pas avoir écouté les fondamentaux citoyens.
Souvenons-nous de 1789 où la parole a été reprise par le Peuple.
Fait à Paris, le 17 novembre 2015.
6ème année sous l'Occupation Ordinale