RESILIENCE communique : statistiques DREES et réaction oni.
Comme suite aux informations diffusées par la DREES, relatives aux chiffres relevés au 01 janvier 2014, concernant les professions de la Santé et notamment le nombre d'infirmières en activité ou supposées.
Comme suite au communiqué de l'ordre infirmier, en date du 08 juillet dernier, extrait : "Cet aveu prouve que l'administration ne peut tout faire et qu'elle doit s'appuyer sur les acteurs de la santé." Selon lui, "l'inscription obligatoire au tableau de l'ordre avec une cotisation modique constitue (...) un mécanisme assurant la production de statistiques actualisées et fiables".
Comme suite à la lettre adressée au Premier ministre par le président Borniche le 07 mai 2014 qualifiant, extrait : " les tâches accomplies par les fonctionnaires du service public des ARS/fichier Adeli de coûteuses, absurdes, redondantes et inutiles."
RESILIENCE conteste la validité des informations contenues dans le fichier ordinal et notamment le nombre d'inscrits revendiqués par l'oni, les chiffres avancés n'ayant jamais été vérifiés de manière incontestable. La ministre ayant, à deux reprises fin 2013, affirmé que les chiffres dont elle disposait n'étaient pas ceux diffusés par l'ordre infirmier.
RESILIENCE rappelle que plusieurs plaintes ont été déposées, soit devant les tribunaux concernant l'utilisation frauduleuse des fichiers de l'oni, soit auprès de la CNIL concernant les utilisations non conformes et la création de fichiers non autorisés. Que ces plaintes sont toujours en cours d'instruction.
RESILIENCE rappelle la publication, au Journal Officiel, de plusieurs textes confiant la gestion pleine et entière des fichiers de personnels paramédicaux aux ARS, notamment l'arrêté du 26 mai 2014 modifiant l’arrêté du 12 juillet 2012 relatif à la mise en place d’un traitement de données à caractère personnel dénommé ADELI de gestion de l’enregistrement et des listes départementales de certaines professions et usages de titres professionnels.
RESILIENCE demande aux infirmières non inscrites à l'ordre de continuer à résister aux pressions, soit des CPAM qui menacent les infirmières libérales de déconventionnement, soit des employeurs qui refusent - par exemple - de titulariser une infirmière stagiaire.
RESILIENCE rappelle les engagements des pouvoirs publics actuels, autrefois opposants et opposés aux ordres paramédicaux, et leur demande de les tenir.
RESILIENCE - 20 rue de Molsheim - 67000 Strasbourg.
Comme suite aux informations diffusées par la DREES, relatives aux chiffres relevés au 01 janvier 2014, concernant les professions de la Santé et notamment le nombre d'infirmières en activité ou supposées.
Comme suite au communiqué de l'ordre infirmier, en date du 08 juillet dernier, extrait : "Cet aveu prouve que l'administration ne peut tout faire et qu'elle doit s'appuyer sur les acteurs de la santé." Selon lui, "l'inscription obligatoire au tableau de l'ordre avec une cotisation modique constitue (...) un mécanisme assurant la production de statistiques actualisées et fiables".
Comme suite à la lettre adressée au Premier ministre par le président Borniche le 07 mai 2014 qualifiant, extrait : " les tâches accomplies par les fonctionnaires du service public des ARS/fichier Adeli de coûteuses, absurdes, redondantes et inutiles."
RESILIENCE conteste la validité des informations contenues dans le fichier ordinal et notamment le nombre d'inscrits revendiqués par l'oni, les chiffres avancés n'ayant jamais été vérifiés de manière incontestable. La ministre ayant, à deux reprises fin 2013, affirmé que les chiffres dont elle disposait n'étaient pas ceux diffusés par l'ordre infirmier.
RESILIENCE rappelle que plusieurs plaintes ont été déposées, soit devant les tribunaux concernant l'utilisation frauduleuse des fichiers de l'oni, soit auprès de la CNIL concernant les utilisations non conformes et la création de fichiers non autorisés. Que ces plaintes sont toujours en cours d'instruction.
RESILIENCE rappelle la publication, au Journal Officiel, de plusieurs textes confiant la gestion pleine et entière des fichiers de personnels paramédicaux aux ARS, notamment l'arrêté du 26 mai 2014 modifiant l’arrêté du 12 juillet 2012 relatif à la mise en place d’un traitement de données à caractère personnel dénommé ADELI de gestion de l’enregistrement et des listes départementales de certaines professions et usages de titres professionnels.
RESILIENCE demande aux infirmières non inscrites à l'ordre de continuer à résister aux pressions, soit des CPAM qui menacent les infirmières libérales de déconventionnement, soit des employeurs qui refusent - par exemple - de titulariser une infirmière stagiaire.
RESILIENCE rappelle les engagements des pouvoirs publics actuels, autrefois opposants et opposés aux ordres paramédicaux, et leur demande de les tenir.
RESILIENCE - 20 rue de Molsheim - 67000 Strasbourg.