par Lesinfirmières Encolère
Lesinfirmières Encolère revendiquent légitimement :
un salaire décent qui corresponde aux responsabilités, à la pénibilité, aux horaires décalés, à la charge de travail, aux heures supplémentaires non rémunérées, aux remplacements de collègues au pied levé, et autres contraintes liées à l'exercice de cette profession au service de la population 24/24 et 365 jours/an …
le doublement du numérus clausus à l'entrée des IFSI afin de compenser, sur 5 ans, la pénurie infirmière et médicale récurrente, aggravée par les pouvoirs publics, pénurie qui fait des ravages dans les services de soins au détriment de la qualité des soins et de la sécurité des patients, occasionnant plus de 900 accidents de soins par jour selon une récente étude révélée par la DGOS …
des crèches et autres dispositifs périscolaires adaptés aux horaires infirmiers, notamment la nuit et le week end, pour les infirmières qui vivent seules avec des jeunes enfants à charge …
une formation initiale exigeante et rémunérée qui soit digne de l'exercice infirmier et non pas uniquement diluée dans la nébuleuse universitaire dévolue aux seuls accords européens de Bologne, où les cours sont dispensés par dvd et où la réflexion est absente, où les étudiants sont une charge supplémentaire imposée pour les infirmières, sur le terrain du soin …
l'abrogation de l'ordre infirmier, inutile et coûteux, préjudiciable et gravement nuisible à l'image d'une profession infirmière pourtant plébiscitée par les français, ordre professionnel honteux et, depuis peu, illégitime, à la botte de l'État et sous tutelle de sa banque …
des formations professionnelles continues accessibles et non toujours remises à plus tard pour cause de non disponibilité des agents, de réduction des budgets et de pénurie infirmière …
retrouvez Lesinfirmières Encolère sur
https://www.facebook.com/profile.php?id=100003126759761
Lesinfirmières Encolère sont soutenues par :
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
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un salaire décent qui corresponde aux responsabilités, à la pénibilité, aux horaires décalés, à la charge de travail, aux heures supplémentaires non rémunérées, aux remplacements de collègues au pied levé, et autres contraintes liées à l'exercice de cette profession au service de la population 24/24 et 365 jours/an …
le doublement du numérus clausus à l'entrée des IFSI afin de compenser, sur 5 ans, la pénurie infirmière et médicale récurrente, aggravée par les pouvoirs publics, pénurie qui fait des ravages dans les services de soins au détriment de la qualité des soins et de la sécurité des patients, occasionnant plus de 900 accidents de soins par jour selon une récente étude révélée par la DGOS …
des crèches et autres dispositifs périscolaires adaptés aux horaires infirmiers, notamment la nuit et le week end, pour les infirmières qui vivent seules avec des jeunes enfants à charge …
une formation initiale exigeante et rémunérée qui soit digne de l'exercice infirmier et non pas uniquement diluée dans la nébuleuse universitaire dévolue aux seuls accords européens de Bologne, où les cours sont dispensés par dvd et où la réflexion est absente, où les étudiants sont une charge supplémentaire imposée pour les infirmières, sur le terrain du soin …
l'abrogation de l'ordre infirmier, inutile et coûteux, préjudiciable et gravement nuisible à l'image d'une profession infirmière pourtant plébiscitée par les français, ordre professionnel honteux et, depuis peu, illégitime, à la botte de l'État et sous tutelle de sa banque …
des formations professionnelles continues accessibles et non toujours remises à plus tard pour cause de non disponibilité des agents, de réduction des budgets et de pénurie infirmière …
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