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(contre) l'ordre infirmier : grande semaine de la baffe !
seringatomik- Admin
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une folle semaine de (très) mauvaises nouvelles est attendue pour l'ordre infirmier à l'initiative de RESILIENCE et - pourquoi pas (?) - d'autres opposants à l'oni ... savourons, dégustons, pourléchons nous les babines ...
snoopette- Messages : 2531
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avec hémoclar je ne craints pas les mauvais coups:faudrait pis etre leur envoyer un carton!!!!
seringatomik- Admin
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EPISODE 1 :
quand maman demande à adhérer à RESILIENCE et se fait passer pour une infirmière qu'elle n'est pas ...
puisqu'il s'agit d'une plainte - en cours - déposée au TGI de Lyon nous resterons volontairement "évasifs" sur le contenu mais nous pouvons affirmer, ici (preuves à l'appui), que l'ordre infirmier, grand pourfendeur des soit disant tricheurs, faux infirmiers de bloc opératoire, infirmiers, etc ... compte en son sein, une personnalité de premier plan qui, pour des raisons qu'il appartiendra à la Justice du Peuple de sanctionner, a demandé à sa maman, institutrice en retraite, de s'abonner - chèque à l'appui - à RESILIENCE pour pouvoir pénétrer la face cachée de notre site ...
l'ordre infirmier qui - il y a peu - se faisait le porte parole du Conseil d'Etat, où il siège régulièrement faute de salles de réunions et de budget, devra donc logiquement (?) condamner son propre soldat de haut rang pour avoir faillit à la déontologie ordinale prônée par un code débile jamais publié au JO ...
quand maman demande à adhérer à RESILIENCE et se fait passer pour une infirmière qu'elle n'est pas ...
puisqu'il s'agit d'une plainte - en cours - déposée au TGI de Lyon nous resterons volontairement "évasifs" sur le contenu mais nous pouvons affirmer, ici (preuves à l'appui), que l'ordre infirmier, grand pourfendeur des soit disant tricheurs, faux infirmiers de bloc opératoire, infirmiers, etc ... compte en son sein, une personnalité de premier plan qui, pour des raisons qu'il appartiendra à la Justice du Peuple de sanctionner, a demandé à sa maman, institutrice en retraite, de s'abonner - chèque à l'appui - à RESILIENCE pour pouvoir pénétrer la face cachée de notre site ...
l'ordre infirmier qui - il y a peu - se faisait le porte parole du Conseil d'Etat, où il siège régulièrement faute de salles de réunions et de budget, devra donc logiquement (?) condamner son propre soldat de haut rang pour avoir faillit à la déontologie ordinale prônée par un code débile jamais publié au JO ...
ordreinfirmieralapoubelle- Messages : 1524
Date d'inscription : 31/08/2010
Et donc : usurpation de la qualité professionnelle infirmière ? C'est bien ce que tu es entrain de nous dire ? Si c'est le cas je suis morte de rire. Car on les savait bêtes et idiots mais à ce point ça dépasse l'entendement et ça voudrait nous donner des leçons de morale et ça se dit l'élite de la profession. Ben voyons. Je sens que je vais passer une bien belle semaine.
infirmiermasqué- Messages : 1896
Date d'inscription : 18/07/2010
ordreinfirmieralapoubelle a écrit:Et donc : usurpation de la qualité professionnelle infirmière ? C'est bien ce que tu es entrain de nous dire ? Si c'est le cas je suis morte de rire. Car on les savait bêtes et idiots mais à ce point ça dépasse l'entendement et ça voudrait nous donner des leçons de morale et ça se dit l'élite de la profession. Ben voyons. Je sens que je vais passer une bien belle semaine.
Euh je crois que tu as tout compris oui
P.... c'est plus une couche qu'ils en tiennent !
infirmierencolere- Messages : 689
Date d'inscription : 05/06/2011
ordreinfirmieralapoubelle a écrit:Et donc : usurpation de la qualité professionnelle infirmière ? C'est bien ce que tu es entrain de nous dire ? Si c'est le cas je suis morte de rire. Car on les savait bêtes et idiots mais à ce point ça dépasse l'entendement et ça voudrait nous donner des leçons de morale et ça se dit l'élite de la profession. Ben voyons. Je sens que je vais passer une bien belle semaine.
+ 1
et plus 30 - pour les finances de resilience - on va avoir besoin de munitions - pour payer toutes ces procédures - et ça doit pas peser dans les actions - alors tous solidaires et mort aux cons -
seringatomik- Admin
- Messages : 17808
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EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
ordreinfirmieralapoubelle- Messages : 1524
Date d'inscription : 31/08/2010
seringatomik a écrit:EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
Bientôt y restera plus que Borniche à lui tout seul comme un grand ! Comme ça y pourra faire tout ce qu'il veut mais il sera seul, contre tous.
cedr1c- Messages : 618
Date d'inscription : 09/09/2010
Ils vont avoir du mal à trouver des candidats dans les CDOI. Les seuls à rester sont ceux qui doivent sauver leurs miches, les plus intègres étant déjà très loin.
seringatomik- Admin
- Messages : 17808
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EPISODE 3 :
Marseille ...
A Marseille notre adhérente CB se bat encore et toujours depuis 2009 pour faire reconnaître son bon droit et, au principal, s’interroge sur le fait que le conseil de l’ordre des infirmiers a fermé – volontairement - les yeux sur l’existence de cabinets de soins infirmiers au sein duquel exerçaient plus d’une dizaine d’infirmières libérales, travaillant de concerts sous les ordres et la gestion de la propriétaire des lieux.
Ceci alors même que le conseil national Infirmier précise sur son site internet officiel que, selon le Conseil d'État, au-delà d’un collaborateur, le contrat de collaboration infirmier est susceptible d’être requalifié en contrat de travail.
Contre toute attente cette gérante, infirmière marseillaise, dont le président Didier Borniche a évoqué, dans un droit de réponse à RESILIENCE, publié sur Actu Soins, que ce n’était pas à l’ordre de vérifier les compétences acquises avant que de l’enregistrer au tableau départemental.
Alors même qu’il est plus qu’évident que le fait d’avoir pu, pour cette dernière, s’installer en qualité d'infirmière libérale en France, 30 jours seulement après avoir obtenu un diplôme infirmier en Italie, et, plus surprenant encore, avant même, que le titre de son diplôme ne soit reconnu par l’Union Européenne, posait déjà question(Source DGOS - Ministère de la santé).
L’affaire embarrasse, en haut lieu (le conseil national) et quatre conseillers nationaux démissionneront ainsi de leurs fonctions ordinales, rapportant avoir eu connaissance d’inscriptions « litigieuses » et donc illégales au tableau de l’ordre, les dossiers étaient clos, hors les commissions départementales, en dépit de procédures internes à l'ordre infirmier, écrites et sans aucune confusion possible (selon une source proche du dossier, plusieurs dizaines de cas à Marseille, par manque de temps et de personnel mais dans la précipitation d'encaisser le plus rapidement possible des chèques de cotisations demandés à l'inscription, le bilan financier de l'oni étant catastrophique, chaque euro compte ++).
Cette toute jeune diplômée infirmière, responsable de cabinet de soins, ayant, entre autre, reconnu par écrit devant les responsables de l’ordre infirmier, s’être livrée à la rémunération sur ses fonds propres, de la main à la main, sans aucune facture de rétrocession d’honoraires, une infirmière collaboratrice (fraude fiscale ?).
Ces faits, au demeurant grave, évacués des dossiers au gré de la procédure en chambre nationale disciplinaire, pose un sérieux problème de compétences et de responsabilités.
Au regard de la réglementation en vigueur, et des prérogatives incombant à l’ordre qui va rester «fort silencieux » devant ces graves dérives, alors qu’il n’ignore pas, que cette pratique a duré des années, et, que conséquence inévitables son adhérente a fait encaisser à ses collaboratrices, des actes de soins sur des patients non connus d'elle même, n'ayant jamais mis les pieds aux domiciles concernés.
Cette pratique qu’interdit la Convention nationale infirmière, tombe sous le coup de la Loi, et, au-delà révèle l’existence d’un travail dissimulé, (acceptable par les représentants élus de l’ordre marseillais qui auraient du trouver, nous semble t’il à RESILIENCE, pour l’honneur et la défense de la profession un prolongement judiciaire.
Devant cette inaction surprenante, ce non respect des textes réglementaires, il est normal que notre adhérente se pose la question légitime de comprendre quel est son intérêt d’être contrainte par la Loi, de verser à l’ordre infirmier une redevance annuelle de 75 € (tous les dix mois) à un organisme censé la défendre et la protéger de ce type de malversation, de magouilles.
Tout cela alors que le Code de la Santé Publique interdit, de fait à une infirmière d’employer et de rémunérer, une IDE.
Seul un employeur déclaré au commerce peut rétribuer un collaborateur pour une prestation qu’il va effectuer au domicile d’un client de l’entreprise, et le donneur d’ordre, se faire régler directement par son client, qui se trouve être la Caisse d’Assurance Maladie des Bouches du Rhône !
Notre adhérente n’a pu que faire reconnaître en allant devant la chambre disciplinaire en «appel» à Paris et devant un Conseiller d'État, le détournement d’actes, commis à son préjudice.
Notre adhérente, soutenue par RESILIENCE, ne baisse pas pour autant les bras et demande que soit reconnu, cette fois devant les autorités judiciaires qu’après avoir quitté définitivement ce cabinet infirmier en octobre 2009, son identité a été, a son insu, utilisées bien après son départ sur des DSI et en janvier 2010 sur des documents officiels, à l’aide de sa signature et d’un tampon professionnel infirmier contrefait, comportant ses identifiants, ceci ayant eu pour conséquence d’accoler , son patronyme durant les années 2010 et 2011 à un numéro de téléphone d’un centre de soins « fictif ». Centre réputé ouvert, selon les encarts publicitaires existant sur les Annuaires des Professionnels de Santés de P.A.C.A.
Un simple répondeur téléphonique renvoyant les appels des patients sur la ligne d’un autre cabinet infirmier où son ancienne « patronne n'ayant quasiment jamais exercé» est installée, en compagnie d’une dizaine de collaboratrices infirmières dites « libérales ».
Mafia, vous avez dit mafia ?
Marseille ...
A Marseille notre adhérente CB se bat encore et toujours depuis 2009 pour faire reconnaître son bon droit et, au principal, s’interroge sur le fait que le conseil de l’ordre des infirmiers a fermé – volontairement - les yeux sur l’existence de cabinets de soins infirmiers au sein duquel exerçaient plus d’une dizaine d’infirmières libérales, travaillant de concerts sous les ordres et la gestion de la propriétaire des lieux.
Ceci alors même que le conseil national Infirmier précise sur son site internet officiel que, selon le Conseil d'État, au-delà d’un collaborateur, le contrat de collaboration infirmier est susceptible d’être requalifié en contrat de travail.
Contre toute attente cette gérante, infirmière marseillaise, dont le président Didier Borniche a évoqué, dans un droit de réponse à RESILIENCE, publié sur Actu Soins, que ce n’était pas à l’ordre de vérifier les compétences acquises avant que de l’enregistrer au tableau départemental.
Alors même qu’il est plus qu’évident que le fait d’avoir pu, pour cette dernière, s’installer en qualité d'infirmière libérale en France, 30 jours seulement après avoir obtenu un diplôme infirmier en Italie, et, plus surprenant encore, avant même, que le titre de son diplôme ne soit reconnu par l’Union Européenne, posait déjà question(Source DGOS - Ministère de la santé).
L’affaire embarrasse, en haut lieu (le conseil national) et quatre conseillers nationaux démissionneront ainsi de leurs fonctions ordinales, rapportant avoir eu connaissance d’inscriptions « litigieuses » et donc illégales au tableau de l’ordre, les dossiers étaient clos, hors les commissions départementales, en dépit de procédures internes à l'ordre infirmier, écrites et sans aucune confusion possible (selon une source proche du dossier, plusieurs dizaines de cas à Marseille, par manque de temps et de personnel mais dans la précipitation d'encaisser le plus rapidement possible des chèques de cotisations demandés à l'inscription, le bilan financier de l'oni étant catastrophique, chaque euro compte ++).
Cette toute jeune diplômée infirmière, responsable de cabinet de soins, ayant, entre autre, reconnu par écrit devant les responsables de l’ordre infirmier, s’être livrée à la rémunération sur ses fonds propres, de la main à la main, sans aucune facture de rétrocession d’honoraires, une infirmière collaboratrice (fraude fiscale ?).
Ces faits, au demeurant grave, évacués des dossiers au gré de la procédure en chambre nationale disciplinaire, pose un sérieux problème de compétences et de responsabilités.
Au regard de la réglementation en vigueur, et des prérogatives incombant à l’ordre qui va rester «fort silencieux » devant ces graves dérives, alors qu’il n’ignore pas, que cette pratique a duré des années, et, que conséquence inévitables son adhérente a fait encaisser à ses collaboratrices, des actes de soins sur des patients non connus d'elle même, n'ayant jamais mis les pieds aux domiciles concernés.
Cette pratique qu’interdit la Convention nationale infirmière, tombe sous le coup de la Loi, et, au-delà révèle l’existence d’un travail dissimulé, (acceptable par les représentants élus de l’ordre marseillais qui auraient du trouver, nous semble t’il à RESILIENCE, pour l’honneur et la défense de la profession un prolongement judiciaire.
Devant cette inaction surprenante, ce non respect des textes réglementaires, il est normal que notre adhérente se pose la question légitime de comprendre quel est son intérêt d’être contrainte par la Loi, de verser à l’ordre infirmier une redevance annuelle de 75 € (tous les dix mois) à un organisme censé la défendre et la protéger de ce type de malversation, de magouilles.
Tout cela alors que le Code de la Santé Publique interdit, de fait à une infirmière d’employer et de rémunérer, une IDE.
Seul un employeur déclaré au commerce peut rétribuer un collaborateur pour une prestation qu’il va effectuer au domicile d’un client de l’entreprise, et le donneur d’ordre, se faire régler directement par son client, qui se trouve être la Caisse d’Assurance Maladie des Bouches du Rhône !
Notre adhérente n’a pu que faire reconnaître en allant devant la chambre disciplinaire en «appel» à Paris et devant un Conseiller d'État, le détournement d’actes, commis à son préjudice.
Notre adhérente, soutenue par RESILIENCE, ne baisse pas pour autant les bras et demande que soit reconnu, cette fois devant les autorités judiciaires qu’après avoir quitté définitivement ce cabinet infirmier en octobre 2009, son identité a été, a son insu, utilisées bien après son départ sur des DSI et en janvier 2010 sur des documents officiels, à l’aide de sa signature et d’un tampon professionnel infirmier contrefait, comportant ses identifiants, ceci ayant eu pour conséquence d’accoler , son patronyme durant les années 2010 et 2011 à un numéro de téléphone d’un centre de soins « fictif ». Centre réputé ouvert, selon les encarts publicitaires existant sur les Annuaires des Professionnels de Santés de P.A.C.A.
Un simple répondeur téléphonique renvoyant les appels des patients sur la ligne d’un autre cabinet infirmier où son ancienne « patronne n'ayant quasiment jamais exercé» est installée, en compagnie d’une dizaine de collaboratrices infirmières dites « libérales ».
Mafia, vous avez dit mafia ?
ordreinfirmieralapoubelle- Messages : 1524
Date d'inscription : 31/08/2010
Y en a encore beaucoup des saloperies ordinales de ce genre ? Parce que plus on avance dans le temps, plus j'ai envie de
infirmiermasqué- Messages : 1896
Date d'inscription : 18/07/2010
seringatomik a écrit:EPISODE 3 :
Marseille ...
A Marseille notre adhérente CB se bat encore et toujours depuis 2009 pour faire reconnaître son bon droit et, au principal, s’interroge sur le fait que le conseil de l’ordre des infirmiers a fermé – volontairement - les yeux sur l’existence de cabinets de soins infirmiers au sein duquel exerçaient plus d’une dizaine d’infirmières libérales, travaillant de concerts sous les ordres et la gestion de la propriétaire des lieux.
Ceci alors même que le conseil national Infirmier précise sur son site internet officiel que, selon le Conseil d'État, au-delà d’un collaborateur, le contrat de collaboration infirmier est susceptible d’être requalifié en contrat de travail.
Contre toute attente cette gérante, infirmière marseillaise, dont le président Didier Borniche a évoqué, dans un droit de réponse à RESILIENCE, publié sur Actu Soins, que ce n’était pas à l’ordre de vérifier les compétences acquises avant que de l’enregistrer au tableau départemental.
Alors même qu’il est plus qu’évident que le fait d’avoir pu, pour cette dernière, s’installer en qualité d'infirmière libérale en France, 30 jours seulement après avoir obtenu un diplôme infirmier en Italie, et, plus surprenant encore, avant même, que le titre de son diplôme ne soit reconnu par l’Union Européenne, posait déjà question(Source DGOS - Ministère de la santé).
L’affaire embarrasse, en haut lieu (le conseil national) et quatre conseillers nationaux démissionneront ainsi de leurs fonctions ordinales, rapportant avoir eu connaissance d’inscriptions « litigieuses » et donc illégales au tableau de l’ordre, les dossiers étaient clos, hors les commissions départementales, en dépit de procédures internes à l'ordre infirmier, écrites et sans aucune confusion possible (selon une source proche du dossier, plusieurs dizaines de cas à Marseille, par manque de temps et de personnel mais dans la précipitation d'encaisser le plus rapidement possible des chèques de cotisations demandés à l'inscription, le bilan financier de l'oni étant catastrophique, chaque euro compte ++).
Cette toute jeune diplômée infirmière, responsable de cabinet de soins, ayant, entre autre, reconnu par écrit devant les responsables de l’ordre infirmier, s’être livrée à la rémunération sur ses fonds propres, de la main à la main, sans aucune facture de rétrocession d’honoraires, une infirmière collaboratrice (fraude fiscale ?).
Ces faits, au demeurant grave, évacués des dossiers au gré de la procédure en chambre nationale disciplinaire, pose un sérieux problème de compétences et de responsabilités.
Au regard de la réglementation en vigueur, et des prérogatives incombant à l’ordre qui va rester «fort silencieux » devant ces graves dérives, alors qu’il n’ignore pas, que cette pratique a duré des années, et, que conséquence inévitables son adhérente a fait encaisser à ses collaboratrices, des actes de soins sur des patients non connus d'elle même, n'ayant jamais mis les pieds aux domiciles concernés.
Cette pratique qu’interdit la Convention nationale infirmière, tombe sous le coup de la Loi, et, au-delà révèle l’existence d’un travail dissimulé, (acceptable par les représentants élus de l’ordre marseillais qui auraient du trouver, nous semble t’il à RESILIENCE, pour l’honneur et la défense de la profession un prolongement judiciaire.
Devant cette inaction surprenante, ce non respect des textes réglementaires, il est normal que notre adhérente se pose la question légitime de comprendre quel est son intérêt d’être contrainte par la Loi, de verser à l’ordre infirmier une redevance annuelle de 75 € (tous les dix mois) à un organisme censé la défendre et la protéger de ce type de malversation, de magouilles.
Tout cela alors que le Code de la Santé Publique interdit, de fait à une infirmière d’employer et de rémunérer, une IDE.
Seul un employeur déclaré au commerce peut rétribuer un collaborateur pour une prestation qu’il va effectuer au domicile d’un client de l’entreprise, et le donneur d’ordre, se faire régler directement par son client, qui se trouve être la Caisse d’Assurance Maladie des Bouches du Rhône !
Notre adhérente n’a pu que faire reconnaître en allant devant la chambre disciplinaire en «appel» à Paris et devant un Conseiller d'État, le détournement d’actes, commis à son préjudice.
Notre adhérente, soutenue par RESILIENCE, ne baisse pas pour autant les bras et demande que soit reconnu, cette fois devant les autorités judiciaires qu’après avoir quitté définitivement ce cabinet infirmier en octobre 2009, son identité a été, a son insu, utilisées bien après son départ sur des DSI et en janvier 2010 sur des documents officiels, à l’aide de sa signature et d’un tampon professionnel infirmier contrefait, comportant ses identifiants, ceci ayant eu pour conséquence d’accoler , son patronyme durant les années 2010 et 2011 à un numéro de téléphone d’un centre de soins « fictif ». Centre réputé ouvert, selon les encarts publicitaires existant sur les Annuaires des Professionnels de Santés de P.A.C.A.
Un simple répondeur téléphonique renvoyant les appels des patients sur la ligne d’un autre cabinet infirmier où son ancienne « patronne n'ayant quasiment jamais exercé» est installée, en compagnie d’une dizaine de collaboratrices infirmières dites « libérales ».
Mafia, vous avez dit mafia ?
C'est pour ces vérités appuyées par des preuves que l'oni attaque Résilience à Marseille ?
Ben ça promet
seringatomik- Admin
- Messages : 17808
Date d'inscription : 25/04/2010
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Localisation : alsace
ouais ben en attendant , ce n'est QUE la première journée et la suite encore plus pourrie arrive dans les prochains jours ...
c'est la face cachée de l'ordre que nous mettons au grand jour et manifestement, nous ne sommes pas les seuls ...
c'est la face cachée de l'ordre que nous mettons au grand jour et manifestement, nous ne sommes pas les seuls ...
seringatomik- Admin
- Messages : 17808
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seringatomik a écrit:EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
et voilà :
1 / 2
Mr Emmanuel ADAIN Le 18 avril 2013
Lettre recommandée A/R
Monsieur Didier BORNICHE
Président du Conseil national
de l'Ordre des infirmiers
228 rue du Faubourg Saint-Martin
75010 PARIS
Objet : Démission du Conseil national de l’Ordre des Infirmiers
Monsieur le Président,
Je vous adresse par la présente ma démission de mon mandat de conseiller national de l’Ordre
des infirmiers. Les conditions actuelles de fonctionnement du CNOI, l’absence d’action
significative au bénéfice de la profession, l’absence totale de réponse à mon courriel du
25 mars dernier en réponse à mes préoccupations légitimes de transparence et la politique
désastreuse menée au quotidien à l’encontre des infirmiers libéraux ne me permettent plus
d’exercer ce mandat avec un quelconque espoir de résultats utiles pour nos consœurs et nos
confrères.
Nous n’avons à ce jour, soit depuis troissemaines, reçu aucune délibération, ni aucun compte
rendu du Conseil national extraordinaire du 25 mars dernier, pourtant organisé dans un climat
d’urgence et porteur d’enjeux fondamentaux pour la pérennité de l’Ordre dans toutes ses
composantes. Ce dernier épisode illustre bien le désert d’initiatives et de décisions partagées
dans votre méthode de gouvernance.
Le dépliant adressé aux infirmiers accompagnant l’appel à cotisation pour l’année 2013, que
vous n’avez pas jugé utile de signer, vante « cinq combats pour la profession ». Qu’en est-il
vraiment ? Laissez-moi plutôt vous mettre en face de vos cinq renoncements qui sont autant
de défaites pour la profession.2 / 2
Renoncement à promouvoir l’expertise infirmière :
Les exemples abondent malheureusement de votre incapacité permanente à soutenir et mettre
en valeur cette expertise :
- Une action résolue poursauvegarder la qualité de l’accès à la formation initiale au niveau
européen n’a pas fait partie des priorités du CNOI ces derniers mois. Votre Bureau n’a
fait que se raccrocher aux associations représentatives des formateurs et des étudiants,
heureusement plus vigilantes que vous pour l’avenir de notre profession !
- Le groupe de travail ordinal pour contribuer à la réflexion de la mission SICARD sur
l’accompagnement de la fin de vie a été mis en place… le lendemain de la remise du
rapport au Président de la République !!
- Vous n’avez pas jugé bon de faire contribuer le CNOI à l’élaboration du "Pacte de
confiance pour l’hôpital" commandé à M. Édouard Couty par la Ministre de la Santé,
alors que les infirmiers représentent les professionnels soignants les plus nombreux au
sein des établissements de santé.
- Vous vous désintéressez totalement de notre Code de déontologie, outil de
reconnaissance essentiel de l’éthique et de l’expertise professionnelles.
Qu’avez-vous donc à votre actif dans les « 3 rapports, 7 recommandations et 2 recueils
d’expertises infirmières » consultables sur le site de l’Ordre ? Le CNOI n’a élaboré aucune
position sur un quelconque sujet professionnel de fond depuis le début de votre mandat en
juillet 2011. De même, les avis de l’Ordre sur les protocoles de coopération
interprofessionnelle ne nous sont plus communiqués depuis le début de votre présidence.
D’expertise, soyons francs, sous votre présidence le CNOI n’en a plus! Pour la conserver, il
aurait fallu l’entretenir ou la renouveler. Vous l’avez étouffée sans rien apporter à sa place.
Renoncement à professionnaliser et accompagner les élus ordinaux de proximité :
Le plan de restructuration que vous avez conçu avec votre Bureau se résume à l’abandon des
CDOI et l’asphyxie des CROI. Les conseils départementaux, qui devaient être le bras de
levier de l’Ordre,sont exsangues, alors qu’ils sont indispensables à la qualité des relations de
proximité avec les infirmiers et les institutions qui les emploient. Alors qu’ils devront
préparer seuls le renouvellement de leurs élus dans quelques mois, ils sont toujours en attente,
comme nous, d’une organisation claire et transparente sur ce sujet. Les élus sur terrain se
découragent et démissionnent en cascade. Vous feignez d’ignorer cette réalité. Les
délégations désignées par ARS sont si nombreuses que personne au CNOI ne prend même
plus la peine de s’arrêter un instant sur les causes de cette situation. Alors que notre Conseil a
la responsabilité et le devoir légal de rendre un avis dans chacun de ces cas, vous ne le lui
demandez même pas! Le CNOI fonctionne en autarcie, ne consulte plus les départements,
alors même qu’il prend ses décisions avec une représentativité toujours plus mince. 3 / 2
Nous n’avons pas été informés de la récente réunion des présidents de CROI sur les élections
à venir. Vous ne vous souciez plus de convoquer ni les membres du CNOI ni ceux des CDOI
à ces réunions qui étaient pourtant, naguère, si riches d’échanges mutuels et précieuses pour la
cohésion de toutes les composantes de l’Ordre.
Renoncement à une politique d’égalité dans la gestion du tableau et le paiement
des cotisations, en vous acharnant de manière systématique à poursuivre en priorité
les infirmiers libéraux :
Une grande partie de la survie financière de l’ONI est assise sur la cotisation des infirmiers
libéraux. Votre vision étriquée de cette partie de la profession est édifiante. Vous n’avez eu de
cesse de poursuivre et effrayer ces confrères pour les contraindre à payer leur cotisation. C’est
peu de dire que vous traitez bien différemment lesinfirmiers salariés. On aurait pu penser que
votre statut hospitalier vous aurait incité à plus de zèle pour convaincre vos collègues dans les
hôpitaux. Il n’en est rien, vous y avez renoncé. Vous continuez votre acharnement sélectif qui
masque mal votre incapacité à entraîner, à motiver, qui que ce soit. Le service juridique ̶celui
qui écrit vos textes pour vous, instruit les plaintes et poursuit les infirmières ̶ est bien le
dernier qui fonctionne...
Renoncement à une présidence digne du CNOI:
Le CNOI est tout sauf serein. Comment pourrait-il l’être ? Tout le monde se souvient du
soutien dont avait bénéficié l’équipe précédente dont vous étiez vice-président. Comment
réussir cet exercice schizophrénique consistant à nier notre passé commun ? Combien de
décisions avez-vous votées à l’époque, qu’aujourd’hui vous faitessemblant de condamner ?
La réalité de la "gouvernance partagée" que vous avez tant vantée se limite à un Conseil
national recroquevillé, un Bureau craintif à l’idée de tout partage avec les CROI et CDOI.
Nous n’avons pas pu bénéficier cette année encore de votre rapport d’activité…Et pour
cause !
Vos bavardages sur votre hypothétique sauvetage ordinal ne sauraient tromper les infirmiers:
sous votre présidence, le CNOI n’est plus que l’ombre de lui-même.
Renoncement à porter et représenter une ambition pour notre profession :
Une vingtaine de mois sous votre présidence nous ont éclairés sur vos compétences, votre
expérience et votre dévouement à la tâche, par rapport au niveau qu’exige une telle
responsabilité. La seule ambition qui vous anime ainsi que votre Bureau est à rechercher
ailleurs. Vous vous sentez mieux dans un "costume" officiel de pure apparence – avec
d’ailleurs peu de réussite – que dans la tenue de l’infirmier, le service véritable et l’échange
direct avec vos consœurs et confrères sur le terrain.
À votre image, le Bureau ne s’intéresse plus qu’à la banque, aux couloirs du ministère et, bien
sûr, aux prochaines élections qui doivent concerner la plupart d’entre vous. Quel infirmier
peut raisonnablement voir là une ambition pour la profession ?4 / 2
Ma déception est immense. J’avais inscrit dans ma profession de foi pour être élu au Conseil
national les priorités suivantes: « Veiller et travailler ensemble pour que les principes
éthiques, de moralité, de probité et de compétences continuent à guider notre action (...) Pour
que nous puissions ensemble faire évoluer notre profession et être garants de nos
compétences ».
Nous en sommes si loin aujourd’hui ! L’enthousiasme des débuts s’est échoué sur votre
indifférence à l’égard des élus ordinaux et de nos missions essentielles. Sur vos calculs et vos
comportements de « gouvernance », qui sont devenus insupportables. Ma place est bien plus
utile auprès des patients que dans cette assemblée où vous-même et votre équipe avez cessé
d’être « soignants ».
Recevez, Monsieur le Président, les salutations qu’appelle votre triste bilan.
Emmanuel ADAIN
binoute1- Messages : 113
Date d'inscription : 05/09/2011
Localisation : le grand Est aussi, mais un peu plus à l'Ouest...
- Le groupe de travail ordinal pour contribuer à la réflexion de la mission SICARD sur
l’accompagnement de la fin de vie a été mis en place… le lendemain de la remise du
rapport au Président de la République !!
snoopette- Messages : 2531
Date d'inscription : 31/05/2011
pour en revenir a l'autre et sa mère (quelle honte franchement),il risque a son tour de passer en disciplinaire!!!
Et ben quel bazard dans le truc qui sent pas bon!!!
Et ben quel bazard dans le truc qui sent pas bon!!!
syndicat RESILIENCE- Messages : 2178
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EPISODE 4 :
RESILIENCE sonne la charge !
voir pdf à diffuser +++
https://syndico.exprimetoi.net/t8579-communique-du-23-avril-2013-resilience-sonne-la-charge
RESILIENCE sonne la charge !
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seringatomik- Admin
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EPISODE 5
Dernière édition par seringatomik le Mar 30 Avr 2013 - 7:36, édité 2 fois
Judas- Messages : 52
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- Message n°19
Démission d'Emmanuel ADAIN
Dans sa lettre de démission, E. ADAIN dit toute sa vérité. Il y a peu de choses à ajouter.
On en vient presque à regretter Madame LEBOEUF.
On en vient presque à regretter Madame LEBOEUF.
seringatomik- Admin
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Judas a écrit:Dans sa lettre de démission, E. ADAIN dit toute sa vérité. Il y a peu de choses à ajouter.
On en vient presque à regretter Madame LEBOEUF.
euh, faut pas charrier non plus ... ils restent tous - avant tout pour l'ordre infirmier ...
snoopette- Messages : 2531
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jamais je n'aurais de repenti pour qui que se soit de l'oni,quand tu juges il faut etre parfait soi meme.Parlons du concret a ce jour l'ordre a t il élevé notre profession:NON
a til traité les ides comme de bonnes professionelles dans les conciliation ou disciplinaire :non
A t il caché des choses sous le paillasson:OUI
a t on le droit de privilègier ses potes en ecrasant les autres...
bref le boeuf comme les autres ne vaut pas mieux....
a til traité les ides comme de bonnes professionelles dans les conciliation ou disciplinaire :non
A t il caché des choses sous le paillasson:OUI
a t on le droit de privilègier ses potes en ecrasant les autres...
bref le boeuf comme les autres ne vaut pas mieux....
bran- Messages : 36
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Localisation : bretagne
pas de mot mais comme le soleil qui revient les nouvelles sont bonnes
seringatomik- Admin
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seringatomik a écrit:EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
[Nomination]Emmanuel Adain démissionne du Conseil national de l'ordre des infirmiers
23/04/13 - 16h29 - HOSPIMEDIA |
Emmanuel Adain, infirmier libéral exerçant à la Réunion et conseiller de l'Ordre national des infirmiers (ONI, dans le collège libéral) a transmis le 18 avril dernier à Didier Borniche, président de l'ONI, sa démission du conseil national. Dans un long courrier de quatre pages, Emmanuel Adain déplore notamment "les conditions actuelles de fonctionnement du Conseil national de l'Ordre des infirmiers (CNOI)".
Contacté par Hospimedia, Didier Borniche n'a pas souhaité commenter ce départ qui intervient quelques mois avant les prochaines élections des conseillers nationaux, fixées au 7 novembre prochain (lire notre sujet du 27/03/2013) et près d'un an après l'élection d'Emmanuel Adain à la présidence du syndicat FNI* de la Réunion. Avant lui, d'autres membres de la FNI et notamment son président Philippe Tisserand avaient démissionné du CNOI (en septembre 2011), soulignant alors leur désaccord avec le plan de restructuration de l'ordre des infirmiers soutenu par Didier Borniche (lire aussi notre sujet du 09/09/2011).
Lydie Watremetz
* Fédération nationale des infirmiers (FNI)
Tous droits réservés 2001/2013 — HOSPIMEDIA
seringatomik- Admin
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EPISODE 6 :
RESILIENCE dépose une plainte contre l'ordre infirmier au TGI de Paris
là aussi, il s'agit d'une plainte en cours et nous serons prudents dans la diffusion de nos informations, mais nous pouvons assurer que cette nouvelle plainte de RESILIENCE contre l'ordre infirmier est très documentée et qu'elle concerne l'ensemble des adhérents à l'oni, volontaires ou sous la contrainte ...
déposée pour le motif d'escroquerie, il appartiendra au tribunal de maintenir le motif ou d'en changer ...
RESILIENCE dépose une plainte contre l'ordre infirmier au TGI de Paris
là aussi, il s'agit d'une plainte en cours et nous serons prudents dans la diffusion de nos informations, mais nous pouvons assurer que cette nouvelle plainte de RESILIENCE contre l'ordre infirmier est très documentée et qu'elle concerne l'ensemble des adhérents à l'oni, volontaires ou sous la contrainte ...
déposée pour le motif d'escroquerie, il appartiendra au tribunal de maintenir le motif ou d'en changer ...
seringatomik- Admin
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Localisation : alsace
on fait le point, 3 jours après le début de la semaine importante contre l'ordre infirmier :
EPISODE 1 :
quand maman demande à adhérer à RESILIENCE et se fait passer pour une infirmière qu'elle n'est pas ...
EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
EPISODE 3 :
Marseille ...
EPISODE 4 :
RESILIENCE sonne la charge !
voir pdf à diffuser +++
https://syndico.exprimetoi.net/t8579-communique-du-23-avril-2013-resilience-sonne-la-charge
EPISODE 5 :
lettre à la ministre demandant une enquête de l'IGAS
EPISODE 6 :
RESILIENCE dépose une plainte contre l'ordre infirmier au TGI de Paris
et c'est pas fini !
EPISODE 1 :
quand maman demande à adhérer à RESILIENCE et se fait passer pour une infirmière qu'elle n'est pas ...
EPISODE 2 :
l'ordre infirmier va être - une nouvelle fois - très secoué dans les minutes ou les heures qui viennent par l'annonce d'une démission, une de plus, à suivre ...
EPISODE 3 :
Marseille ...
EPISODE 4 :
RESILIENCE sonne la charge !
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https://syndico.exprimetoi.net/t8579-communique-du-23-avril-2013-resilience-sonne-la-charge
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lettre à la ministre demandant une enquête de l'IGAS
EPISODE 6 :
RESILIENCE dépose une plainte contre l'ordre infirmier au TGI de Paris
et c'est pas fini !
» Des bonnes nouvelles....lettre de X. Bertrand à D. Borniche (pour tous)
» ORDRE INFIRMIER : LA GRANDE LESSIVE
» du 26 au 30 novembre 2012, la semaine du désordre infirmier
» manifestation salon infirmier 2015 contre l'ordre infirmier : RESILIENCE appelle au calme !
» ORDRE INFIRMIER : une semaine de misères ...
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