ordre infirmier : aux abonnés absents ...
alors que l'ordre est en proie aux plus grandes difficultés financières, notamment de trésorerie, alors que les vacances scolaires de Pâques impliquent un très net ralentissement de l'activité des succursales régionales et locales ordinales, pour causes de congés des assistantes administratives et juridiques,
alors que joindre l'ordre - y compris au siège parisien - rue saint âne relève de l'exploit (nous avons testé sur plusieurs jours cette dernière semaine) !
alors que des infirmières qui souhaitent s'installer en exercice libéral ont donc besoin du sésame réclamé par les cpam pour pouvoir s'installer et travailler (quand d'autres se tournent les pouces),
alors que sur les forums, certaines IDE désabusées font état des pires difficultés à remplir les obligations administratives ordinales et coûteuses pour simplement partir à Québec,
l'ordre infirmier est donc aux abonnés absents ... le téléphone sonne désespérément dans le vide, y compris et surtout dans les DOM (nous avons essayé) ... ainsi un IDE réunionnais attend depuis plusieurs semaines, que l'ordre local, installé au Barachois, réponde à ses demandes d'un numéro ordinal que la cpam de l'île exige pour son remplacement en milieu libéral ...
cet exemple n'est pas le seul quand RESILIENCE est interpellé régulièrement pour ce genre de dysfonctionnement ordinal important, ordre pourtant en situation de monopole dans cette "mission de service public" qui lui a été dévolue par l'Etat et que - manifestement - il est incapable de remplir correctement ...
incurie ordinale récurrente dont RESILIENCE a eu à connaître plusieurs exemples, notamment dans le 54 où nous avons été obligés de mettre en demeure le cdoi local de satisfaire à ses obligations légales !
il est donc - encore plus - évident que l'ordre fait doublon, qu'il ne sert à rien si ce n'est à produire des communiqués reprenant des informations connues de tous et à disserter sur des difficultés professionnelles infirmières, elles aussi, connues de tous, qu'il coûte toujours aussi cher et qu'il continue à s'endetter lentement mais très sûrement pour le plus grand bonheur de son banquier ...
alors que l'ordre est en proie aux plus grandes difficultés financières, notamment de trésorerie, alors que les vacances scolaires de Pâques impliquent un très net ralentissement de l'activité des succursales régionales et locales ordinales, pour causes de congés des assistantes administratives et juridiques,
alors que joindre l'ordre - y compris au siège parisien - rue saint âne relève de l'exploit (nous avons testé sur plusieurs jours cette dernière semaine) !
alors que des infirmières qui souhaitent s'installer en exercice libéral ont donc besoin du sésame réclamé par les cpam pour pouvoir s'installer et travailler (quand d'autres se tournent les pouces),
alors que sur les forums, certaines IDE désabusées font état des pires difficultés à remplir les obligations administratives ordinales et coûteuses pour simplement partir à Québec,
l'ordre infirmier est donc aux abonnés absents ... le téléphone sonne désespérément dans le vide, y compris et surtout dans les DOM (nous avons essayé) ... ainsi un IDE réunionnais attend depuis plusieurs semaines, que l'ordre local, installé au Barachois, réponde à ses demandes d'un numéro ordinal que la cpam de l'île exige pour son remplacement en milieu libéral ...
cet exemple n'est pas le seul quand RESILIENCE est interpellé régulièrement pour ce genre de dysfonctionnement ordinal important, ordre pourtant en situation de monopole dans cette "mission de service public" qui lui a été dévolue par l'Etat et que - manifestement - il est incapable de remplir correctement ...
incurie ordinale récurrente dont RESILIENCE a eu à connaître plusieurs exemples, notamment dans le 54 où nous avons été obligés de mettre en demeure le cdoi local de satisfaire à ses obligations légales !
il est donc - encore plus - évident que l'ordre fait doublon, qu'il ne sert à rien si ce n'est à produire des communiqués reprenant des informations connues de tous et à disserter sur des difficultés professionnelles infirmières, elles aussi, connues de tous, qu'il coûte toujours aussi cher et qu'il continue à s'endetter lentement mais très sûrement pour le plus grand bonheur de son banquier ...