chers amis, chers collègues, chers Résilients et sympathisants,
il y a - en France - un petit rigolo qui ne trouve pas mieux que d'attaquer les infirmières de front, par le biais d'un jeune syndicat professionnel infirmier, convoqué en justice avec "in solidum" son secrétaire général qui aurait eu le malheur de dire tout haut, ce que plus de 450 000 infirmières, voire plus, pensent tout bas, un petit rigolo qui est entrain, par son comportement d'organiser, par ricochet, la révolte des blouses blanches, prélude à ce qui pourrait bien devenir une sérieuse épine dans le pied du pouvoir, à moins de 100 jours maintenant des élections générales,
je veux bien évidemment parler de l'ordre infirmier qui n'a pas trouvé mieux que de faire - encore plus - l'unanimité contre lui en seulement cinq années d'existence, dont les 3 dernières de fonctionnement sont catastrophiques sur le plan financier, sans parler du discrédit moral et politique infligé à notre profession par cette incurie ordinale qui nous fait honte, à tous,
tel un enfant qui, dans la cour de l'école irait crier "maîtresse il m'a tiré les cheveux", c'est sur la pure forme et jamais sur le fond que l'ordre infirmier se plaint d'avoir été injurié publiquement, produisant des centaines de pages de copies d'écran récupérées sur @, accusant RESILIENCE et Hugues Dechilly de tirer à vue sur l'honneur de la profession dont il serait le gardien, quand il n'est pas même capable de compter et qu'il produit des mensonges, certes dénoncés par RESILIENCE, à longueur de journée, quand chaque jour qui passe voit son comportement toujours plus opaque bafouer les règles les plus élémentaires du droit, notamment de ses propres salariés, abusant la confiance des infirmiers qui ont adhéré, souvent de force et contraints, à cette institution ordinale que nous n'avons jamais demandé, à personne,
RESILIENCE qui, par ailleurs, n'a jamais été démenti par ce même ordre infirmier sur le contenu de ses affirmations, en plus de 18 mois !
il est clair que cette attaque contre le plus petit, l'ordre n'ayant pas ni les moyens financiers, ni le cran de s'attaquer aux plus gros des syndicats, est destinée uniquement à faire cesser les communiqués ravageurs que RESILIENCE produit depuis plus de 18 mois contre un ordre infirmier, communiqués rédigés à l'aide des informations qui nous sont adressées quotidiennement par les opposants internes, communiqués qui informent (c'est notre premier but) pour mieux défendre nos adhérents (notre seconde mission) et obtenir l'abrogation de la Loi du 21 décembre 2006, acte de naissance de cet ordre infirmier mort né, aujourd'hui moribond (le premier article de nos statuts),
bien évidemment et comme toujours, nous allons nous battre, la machine à distribuer des baffes est sur "on" depuis plusieurs jours maintenant et c'est un front qui est entrain de prendre forme, associant infirmiers, pédicures, kinés, laborantins et autres collègues de la Santé, soutenu ici et là par des initiatives - toutes bienvenues - pour, enfin, faire entendre raison à ceux et celles qui l'ont perdu depuis longtemps et qui ont conduit, successivement, l'ordre infirmier dans la situation misérable dans laquelle il se trouve, ordre qui n'a plus désormais d'infirmier que le nom,
les juges diront le Droit et bien sûr, nous nous conformerons à leurs décisions, sans jamais refuser de nous battre jusqu'au bout,
la volonté de l'ordre infirmier étant de nous mettre à genoux, ce que jamais nous ne ferons, c'est financièrement qu'il compte aussi nous accabler en exigeant la somme de 30 000 euros de dommages et intérêts, somme qu'il n'a lui même pas en caisse aujourd'hui après avoir brassé plus de 40 millions de prêts et de cotisations versées, en moins de 3 années d'un fonctionnement dont il faudra bien qu'il rende compte, un jour ou l'autre,
parce que cette lamentable histoire nous concerne - tous (étudiants, infirmiers, employeurs, associations ou syndicats infirmiers) - c'est à vous que RESILIENCE et moi demandons de nous aider en nous envoyant un don, même minime, pour que solidairement nous puissions faire face à ces dépenses imprévues et organiser la contre attaque le plus efficacement, en attendant le 20 mars à 13h30, rendez vous auquel nous sommes conviés au tribunal correctionnel de Paris,
RESILIENCE - 13 rue de Molsheim - 67 000 Strasbourg.
mieux vous pouvez décider de nous soutenir en adhérant à notre cause commune au moyen du bulletin d'adhésion qui vous est adressé en PJ ou qui est disponible sur le site,
RESILIENCE et moi, vous remercions pour vos témoignages de soutiens, tous plus sympathiques, voire émouvants, les uns que les autres et c'est ensemble que nous obtiendrons gain de cause contre l'honni oni, nous vous demandons de diffuser ce message le plus largement autour de vous, vos collègues infirmiers étant bien évidemment les premiers concernés,
merci à tous et toutes,
hugues dechilly, secrétaire général de RESILIENCE
MEME PAS PEUR