alors que les (ir)responsables de l'oni s'acharnent (inutilement) à garder secret l'ordre du jour et le contenu de la réunion du cnoi, le 05 décembre dernier à Paris, RESILIENCE a pris connaissance d'un long document - d'une remarquable qualité - accablant sur la gestion de cet ordre et sur la responsabilité de chacun des intervenants dans ce dossier, que sont l'ordre, les banques et l'Etat,
il s'agit donc d'une pièce supplémentaire qui vient s'ajouter à la très longue liste des preuves indiscutables de l'inutilité ordinale au sein de notre profession infirmière,
il s'agit donc, aussi, d'appuyer "là où çà fait mal" et d'utiliser le contenu de ce rapport pour alimenter notre réflexion et guider nos actions visant à obtenir l'abrogation de ce chancre nauséabond, coûteux et profitable à sa seule banque ...
extrait d'un document :
" Il semble donc opportun de rappeler les responsabilités des trois acteurs dans la situation économique de l'Ordre:
L'Ordre lui même dans la mise en oeuvre d'un plan de développement, fruit d'une logique hasardeuse. Dans ce sens, nous estimons que les élus de l'ONI devraient être plus présents en tant qu'acteurs du PSE .../...
Les pouvoirs publics qui n'ont utilisé aucun des moyens d'information, de contrôle et d'incitation auprès des redevables de la cotisation .../...
Les banques qui ont manqué de discernement en acceptant le plan économique présenté par l'ONI à sa création et de vigilance en décelant trop tard ses dérives .../... "