Semaine de MOBILISATION des SOIGNANTS: HONNEUR à MAYOTTE qui ouvre le bal !
Depuis le 29 octobre dernier, soit à l'appel des syndicats du CHM (CH Mayotte), soit à celui des centrales syndicales, les personnels sont réquisitionnés, comme ce lundi 09 novembre 2015 à l'occasion du deuxième jour de grève générale en moins d'une semaine. Ce lundi 09 novembre la ministre des Outre-Mer est - très - attendue et devra rapidement répondre aux attentes de la population mahoraise et dessyndicats qui sont partis l'attendre sur l'île de Petite Terre (où se trouve l'aéroport international) en prenant des barges spéciales réservées à cette intention. Les principales revendications des centrales syndicales portent sur la vie chère et l'alignement du 101 ème département français au même niveau de prestations qu'en métropole. Celles des employées du CHM concernent l'insécurité liée à l'immigration et aux manques de logements. Nicole* (infirmière) résume la situation : "Je suis là depuis deux mois et si dans une semaine je n'ai pas trouvé de logement sécurisé, je rentre en France". Thierry* (infirmier) : "On en a ras le bol de devoir en permanence faire attention. De plus, le turn over infirmier est épuisant car on doit toujours recommencer à zéro avec les nouvelles recrues".
* les prénoms ont été modifiés.
https://www.facebook.com/lesinfirmieres.encolere
Depuis le 29 octobre dernier, soit à l'appel des syndicats du CHM (CH Mayotte), soit à celui des centrales syndicales, les personnels sont réquisitionnés, comme ce lundi 09 novembre 2015 à l'occasion du deuxième jour de grève générale en moins d'une semaine. Ce lundi 09 novembre la ministre des Outre-Mer est - très - attendue et devra rapidement répondre aux attentes de la population mahoraise et dessyndicats qui sont partis l'attendre sur l'île de Petite Terre (où se trouve l'aéroport international) en prenant des barges spéciales réservées à cette intention. Les principales revendications des centrales syndicales portent sur la vie chère et l'alignement du 101 ème département français au même niveau de prestations qu'en métropole. Celles des employées du CHM concernent l'insécurité liée à l'immigration et aux manques de logements. Nicole* (infirmière) résume la situation : "Je suis là depuis deux mois et si dans une semaine je n'ai pas trouvé de logement sécurisé, je rentre en France". Thierry* (infirmier) : "On en a ras le bol de devoir en permanence faire attention. De plus, le turn over infirmier est épuisant car on doit toujours recommencer à zéro avec les nouvelles recrues".
* les prénoms ont été modifiés.
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