RESILIENCE écrit aux Nations Unies et au président Hollande face aux étrangers pro ordres qui nous envahissent !
Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies.
First Avenue at 46th Street New York, NY 10017. USA.
Monsieur le Président de la République Française.
Palais de l’Elysée – 75008 Paris.
Objet : ordre infirmier – déclaration de guerre ?
Strasbourg, le 20 avril 2015.
Monsieur le Secrétaire Général,
Monsieur le Président de la République,
comme suite – au vote souverain et au nom du Peuple de France – de l’Assemblée Nationale à Paris dans la nuit du 9 au 10 avril 2015, d’un amendement n° 517 visant à supprimer l’ordre infirmier de notre pays, nous subissons maintenant des agressions extérieures qui deviennent franchement insupportables. Nous sommes confrontés en permanence aux menaces et aux tentatives de déstabilisation des Sénateurs qui auront à se prononcer dans quelques semaines après que les Députés aient clairement exprimé leur choix en séance publique.
Ainsi donc, monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies et monsieur le Président de la République Française, des membres de l’ordre des infirmiers du Québec/Canada, et il y a peu, le 17 avril 2015, le Conseil International des Infirmières dont le siège est à Genève, ont, par des prises de positions insoutenables, mis un pied dans les affaires intérieures de notre beau Pays.
Le Peuple de France qui compte 65 millions d’âmes, dont 1 pour cent est une infirmière ou un infirmier (au nombre de 638 248 au dernier recensement de janvier 2015) en activité ne saurait – plus longtemps – accepter de telles ingérences dans une affaire interne à la France.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Les infirmières de France ont ainsi exprimé massivement – depuis plus de huit ans – leur désapprobation et leur méfiance envers cet ordre professionnel qui nous a été imposé par le législateur d’alors, en refusant à plus de 80% de s’inscrire et de cotiser tout en continuant tranquillement à soigner la population française au quotidien, dans une précarité juridique intolérable du point de vue du droit. Elles continueront de le faire et se souviendront encore longtemps des tracasseries qui leurs sont faîtes.
Nos collègues infirmières canadiennes et celles représentées au sein du CII, qui vont fêter le 12 mai prochain la Journée Mondiale des Infirmières devraient se contenter de coller les affiches pour préparer cette fête qui reste encore trop méconnue et, de part des prises de positions inqualifiables, ne pas se mêler de ce qui ne les concernent pas.
Après les insultes ordinales françaises ayant affublé nos « députés de pieds nickelés », allons-nous tout droit à une déclaration de guerre ?
A titre personnel et ne voulant pas envenimer plus encore une situation très tendue, je n’oserai ici vous retranscrire les mots que ma vieille tante Suzanne, ancienne infirmière diplômée ayant connu l’occupant et pratiqué au Front pendant la seconde guerre mondiale, m’a dit récemment à propos de ces ingérences canadiennes et suisses.
Aussi, monsieur le Secrétaire Général, monsieur le Président, nous vous serions reconnaissants de faire en sorte que cette malheureuse affaire ordinale franco française ne prenne pas des disproportions que nous ne pourrions plus assumer, tant l’activisme des dirigeants infirmiers français, à l’étranger, est grand pour compenser la misère ordinale qu’ils subissent dans leur propre pays, avec l’aide - certes - de médias partisans.
Un processus parlementaire - tout à fait légal - est en cours et la Souveraineté de notre pays ne saurait s’accommoder de coups d’éclats étrangers, fût-ce au nom d’intérêts importants particuliers qui n’ont rien à voir avec l’intérêt supérieur de la profession infirmière.
Recevez, monsieur le Secrétaire Général, monsieur le Président de la République, nos salutations infirmières très respectueuses et plus déterminées que jamais.
Vive la République, Vive la France !
Pour Résilience,
Le secrétaire général,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies.
First Avenue at 46th Street New York, NY 10017. USA.
Monsieur le Président de la République Française.
Palais de l’Elysée – 75008 Paris.
Objet : ordre infirmier – déclaration de guerre ?
Strasbourg, le 20 avril 2015.
Monsieur le Secrétaire Général,
Monsieur le Président de la République,
comme suite – au vote souverain et au nom du Peuple de France – de l’Assemblée Nationale à Paris dans la nuit du 9 au 10 avril 2015, d’un amendement n° 517 visant à supprimer l’ordre infirmier de notre pays, nous subissons maintenant des agressions extérieures qui deviennent franchement insupportables. Nous sommes confrontés en permanence aux menaces et aux tentatives de déstabilisation des Sénateurs qui auront à se prononcer dans quelques semaines après que les Députés aient clairement exprimé leur choix en séance publique.
Ainsi donc, monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies et monsieur le Président de la République Française, des membres de l’ordre des infirmiers du Québec/Canada, et il y a peu, le 17 avril 2015, le Conseil International des Infirmières dont le siège est à Genève, ont, par des prises de positions insoutenables, mis un pied dans les affaires intérieures de notre beau Pays.
Le Peuple de France qui compte 65 millions d’âmes, dont 1 pour cent est une infirmière ou un infirmier (au nombre de 638 248 au dernier recensement de janvier 2015) en activité ne saurait – plus longtemps – accepter de telles ingérences dans une affaire interne à la France.
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
Les infirmières de France ont ainsi exprimé massivement – depuis plus de huit ans – leur désapprobation et leur méfiance envers cet ordre professionnel qui nous a été imposé par le législateur d’alors, en refusant à plus de 80% de s’inscrire et de cotiser tout en continuant tranquillement à soigner la population française au quotidien, dans une précarité juridique intolérable du point de vue du droit. Elles continueront de le faire et se souviendront encore longtemps des tracasseries qui leurs sont faîtes.
Nos collègues infirmières canadiennes et celles représentées au sein du CII, qui vont fêter le 12 mai prochain la Journée Mondiale des Infirmières devraient se contenter de coller les affiches pour préparer cette fête qui reste encore trop méconnue et, de part des prises de positions inqualifiables, ne pas se mêler de ce qui ne les concernent pas.
Après les insultes ordinales françaises ayant affublé nos « députés de pieds nickelés », allons-nous tout droit à une déclaration de guerre ?
A titre personnel et ne voulant pas envenimer plus encore une situation très tendue, je n’oserai ici vous retranscrire les mots que ma vieille tante Suzanne, ancienne infirmière diplômée ayant connu l’occupant et pratiqué au Front pendant la seconde guerre mondiale, m’a dit récemment à propos de ces ingérences canadiennes et suisses.
Aussi, monsieur le Secrétaire Général, monsieur le Président, nous vous serions reconnaissants de faire en sorte que cette malheureuse affaire ordinale franco française ne prenne pas des disproportions que nous ne pourrions plus assumer, tant l’activisme des dirigeants infirmiers français, à l’étranger, est grand pour compenser la misère ordinale qu’ils subissent dans leur propre pays, avec l’aide - certes - de médias partisans.
Un processus parlementaire - tout à fait légal - est en cours et la Souveraineté de notre pays ne saurait s’accommoder de coups d’éclats étrangers, fût-ce au nom d’intérêts importants particuliers qui n’ont rien à voir avec l’intérêt supérieur de la profession infirmière.
Recevez, monsieur le Secrétaire Général, monsieur le Président de la République, nos salutations infirmières très respectueuses et plus déterminées que jamais.
Vive la République, Vive la France !
Pour Résilience,
Le secrétaire général,
RESILIENCE – 20 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
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