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Contrairement aux idées reçues et véhiculées ici où là, l'oni n'est pas mort et enterré

 Soutien total et inconditionnel aux  pédicures-podologues et aux kinés qui passent au tribunal


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    Message par syndicat RESILIENCE Ven 13 Mar 2015 - 5:16

    souvenirs nauséabonds à utiliser +++

    nouvelle rubrique destinée à faire remonter à la surface des infos que l ordre infirmier voudrait pouvoir oublier afin de se refaire une virginité ordinale encore plus puante que la première ...
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    Message par necronomicon Ven 13 Mar 2015 - 6:36

    Etat-civil du jeune président, BORNICHE DIDIER 07/05/1950  65 ans bientôt, de son plus jeune vice-président, 59 ans et 8 mois, et de leur illustre doyenne, VEYER CHRISTIANE 30/10/1943, 71 ans.

    Un vent de jeunesse souffle sur le beurk !Very Happy
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    Message par necronomicon Ven 13 Mar 2015 - 6:41

    C'est pas nous, ce sont les autres... beurk


    Madame Marisol TOURAINE
    Ministre des Affaires sociales et de la Santé
    14, avenue Duquesne
    75350 PARIS 07 SP
    Paris, le 16 mai 2014
    Madame la Ministre,
    Lors de la séance de questions au gouvernement du 13 mai 2014, vous avez remis une nouvelle fois en question la légitimité et l’utilité de l’Ordre National des Infirmiers.
    C’est avec consternation et colère que nous avons pris connaissance des attaques totalement infondées que vous portez à l’encontre de notre institution et de ses 150 000 adhérents.
    Vous avez profité du regrettable incident survenu dans le Haut-Rhin - relevant du seul ministère de la Justice et dans lequel l'Ordre n'a aucune responsabilité - pour une fois encore stigmatiser l'ONI et appeler à sa suppression. Si nous regrettons cet incident, il n'est ni responsable, ni compréhensible que notre Ministre de tutelle le retourne contre notre institution ordinale.
    Nous tenons à vous rappeler que l'Ordre n'engage d'action en justice que lorsque la sécurité des patients ou l'honneur de la profession sont mis en cause ; ce qui entre strictement dans ses missions. 21 plaintes ont été déposées depuis juillet 2011 afin de mettre définitivement un terme à des comportements extrêmement dangereux.
    Il y a maintenant plus d’un an que les élus de l'Ordre, qui représente la première profession de santé, demandent à être reçus par vous-même ou vos collaborateurs. Nos demandes sont restées sans réponse. Je ne peux que m’indigner devant ce refus obstiné de dialogue quand il est question de santé publique, d'éthique professionnelle et de garantie de la sécurité des soins pour les patients. Nous avons connu la députée hostile par idéologie à l'Ordre, nous souhaitons aujourd'hui dialoguer avec la Ministre de la Santé dont le seul objectif est de garantir l'intérêt général et la santé publique.
    L’Ordre National des Infirmiers - créé par le législateur - doit regrouper l’ensemble des infirmiers habilités à exercer leur profession en France dans leur intérêt professionnel et celui de nos concitoyens. Vous savez bien que le fait que tous les infirmiers diplômés ne soient pas inscrits au tableau de l'Ordre permet à des faux infirmiers de profiter de cette faille et d'exercer illégalement. Il s’agit là d’un enjeu de santé publique majeur sur lequel notre institution a tenu à vous alerter depuis bien trop longtemps.
    Nous vous tenons pour responsable de cette situation.
    La mission de l’Ordre n’est pas de contraindre les professionnels infirmiers à l’adhésion. Elle est de strictement garantir la sécurité des soins que le Ministère de la Santé et l'Ordre doivent
    à nos concitoyens. Elle est d’offrir aux professionnels infirmiers, la reconnaissance qu’ils méritent de par le travail remarquable dans la prise en charge des Français qu'ils assurent au quotidien.
    Dans une République apaisée où le dialogue est la règle, il est de votre devoir de recevoir les représentants élus de l'Ordre dans les meilleurs délais.
    Didier BORNICHE
    Président
    et les 832 élus départementaux et régionaux
    de l’Ordre National des Infirmiers
    Copie de ce courrier :
    - au Président de la République
    - au Premier Ministre.
    - à l’ensemble des parlementaires.
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    Message par necronomicon Ven 13 Mar 2015 - 6:45

    Le grand amour porté à Dame Le Boeuf : queen

    Paris le 20 février 2011
    Lettre ouverte à la Présidente du Conseil National de l’Ordre des Infirmiers
    Madame la Présidente,
    La teneur du dernier communiqué de presse ne peut se prévaloir de l'avis
    du CNOI, ni celui du bureau, ceux-ci n'ayant à aucun moment été concerté
    dans cette communication.
    La victimisation incessante n'est pas l'alliée du conseil national de l'ordre des infirmiers,
    et produire de tels écrits accusateurs n'est pas dans l’esprit de notre engagement.
    A l’heure d’internet, aucune urgence n’implique que vous soyez contrainte de répondre
    vite et toujours seule. Il aurait été préférable d’envoyer par mail un « premier jet » aux
    52 membres du CNOI, pour enrichir cette réaction de la contribution de chacun. Dans le
    même délai de 36 heures, nous pouvions aboutir à une réaction plus partagée, sur un ton
    plus ordinal.
    Comment dès lors imaginer une relation constructive et faire reconnaitre
    par l'Etat les compétences des infirmiers en utilisant l’agressivité et la
    provocation?
    Cette manière est également disqualifiante auprès des 85% de nos confrères restant à
    convaincre, car à défaut d’avoir raison sur tout, la Secrétaire d'Etat dit une vérité :
    le taux de recouvrement des cotisations et la trésorerie du CNOI nous inquiètent
    également.
    Cette situation est ubuesque lorsque le gouvernement « se pose en soutien des
    infirmiers, et en défenseur de ces derniers » face à un conseil de l'ordre qu'il semble
    considérer comme peu à l’écoute des professionnels qu'il représente.
    Espérer que c'est par la force et l'intimidation que le conseil trouvera sa place, ce n'est
    pas audacieux, mais suicidaire. Dans de précédentes réactions publiques, vous avez déjà
    évoqué le refus d'une mort lente du conseil, préférant alors une mort rapide.
    Madame la Présidente, pourtant notre règlement intérieur, voté le 15 juin 2010 explique
    en sa page 8 une de nos valeurs essentielles. « Emanant de l’ensemble des
    infirmières et des infirmiers, l’Ordre est à leur écoute (..). »
    N’oublions pas également que le Gouvernement a changé. Xavier Bertrand a signé la loi
    créant l’ONI, il soutiendra l’Ordre qu’il a souhaité pour les infirmiers.
    En juin dernier, le Député Richard Maillé, qui a participé aux Etats Généraux Infirmiers
    de janvier 2006, travaillé à nos cotés, puis porté la loi créant notre Ordre, est venu nous
    2
    conseiller amicalement afin d’aider notre Ordre : en réponse, nous avons refusé la main
    tendue par Pierre Méhaignerie et Richard Maillé. Ne reproduisons pas la même erreur.
    Alors que ces dernières semaines le travail local a pu aboutir à une évolution des ARS et
    des directions d’établissement, ne claquons pas une porte qui s’entrouvre !
    Le ministère nous demande un geste sur la cotisation. Mais c’est aussi très largement la
    demande des infirmières salariées. Pour véritablement les représenter, le CNOI doit
    entendre cette demande de ses pairs.
    Entre une cotisation symbolique, et 75 euros, à nous de trouver un juste milieu, qui
    permette à l’ONI de fonctionner tout en étant d’un montant acceptable pour le plus
    grand nombre. Il y aura toujours une minorité d’irréductibles, comme chez les médecins
    ou avocats, qui refuseront de cotiser, quelque soit le prix. Et une autre minorité qui
    cotisera toujours car elle est comme nous persuadée le l’importance de l’ONI.
    Mais la majorité de nos consoeurs et confrères infirmier(e)s cherchent encore leur place
    à l’Ordre. L’action de l’ONI doit donc être plus visible et soutenue, et sa cotisation
    baissée. Si la cotisation est plus basse, nous aurons plus d’inscrits.
    Nous enregistrons une progression régulière, qui fait que dans six mois nous devrions
    atteindre le cap des 100.000 inscrits… Mais combien de cotisants ? Pour convaincre,
    nous avons besoin de temps, pas de faire un bras de fer avec les ministres successifs.
    Pour conclure, et vous rejoindre sur un point, ce n’est pas l’ONI qui est en
    crise, s’il y a une crise c’est bien celle de sa gouvernance.
    Confraternellement,
    Didier BORNICHE
    Vice Président du Conseil National de l'Ordre des Infirmiers
    Président du Conseil Régional de l’ordre des Infirmiers de Haute-Normandie
    Karim MAMERI
    Secrétaire Général Adjoint du Conseil National de l'Ordre des Infirmiers
    Président du Conseil Départemental de Seine-Maritime
    Thierry AMOUROUX
    Président du Conseil Départemental de Paris
    Christophe BOUCHET
    Président du Conseil Régional Midi-Pyrénées
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    kineoutre


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    Message par kineoutre Ven 13 Mar 2015 - 10:33

    SUPER !!!
    Exhumons les preuves de la crotte crotte crotte ordinale pour ne pas les oublier, allez, quelques piqûres de rappel ça ne peut faire que du bien !!!

    Là, on est chez l'ordre kiné, gardien de l'honneur et de la probité de la profession:




    Résumé :
    …L’ordre veille au maintien des principes de moralité, de probité et de compétence indispensables à l’exercice de la masso-kinésithérapie.

    Les Masseurs-Kinésithérapeutes sont tenus d’observer les devoirs et obligations professionnels qui leur incombent.

    …La mise en place de l’Ordre signe symboliquement, pour notre profession, le passage à l’âge adulte.

    …Enfin il assure une mission de solidarité et d’entraide entre ses membres.

    Déroulé :
    René Couratier ne s’en remet pas. Le 14 mai dernier, c’est en tant président du Conseil départemental de l’Ordre des masseurs kinésithérapeutes des Bouches du Rhône qu’il a été tabassé dans les locaux mêmes du Conseil. Son agresseur était un membre du Bureau… La police et les pompiers ont dû intervenir. Rencontre.

    "J’ai toujours été un grand syndicaliste. Je suis le corédacteur du code de déontologie des masseurs kinésithérapeutes. Je suis président du Conseil départemental des Bouches du Rhône depuis sa création et élu trois fois successives à l’unanimité J’ai été vice-président puis président du Conseil national pendant près de cinq ans. Ce qui m’est arrivé est hallucinant.

    Fausses indemnités
    En juillet 2011, lorsque j’ai arrêté mes fonctions au niveau national, je me suis investi au Conseil départemental de façon plus importante. Je me suis rapidement aperçu qu’un conseiller avait réalisé des faux en écriture. Il s’agissait de fausses indemnités qui avaient été perçues à hauteur de plusieurs milliers d’euros sur de nombreuses années. Je n’ai la preuve manuscrite que pour six mois. Tous les autres cahiers ont disparu. Sur ce semestre, j’ai donc constaté que toutes les indemnités étaient frauduleuses. J’ai alors déposé plainte en disciplinaire. Pour moi, la ligne jaune avait été franchie, d’autant que ce conseiller est sous le coup d’une autre plainte pour diffamation.
    Il s’avère que j’ai également dû déposer plainte contre un autre conseiller du Bureau pour comportements anormaux lors des audiences. Il y a beaucoup d’exemples mais je n’en citerai qu’un. Lors d’une audience, nous étudions le dossier d’un masseur-kinésithérapeute qui avait... [ pagebreak ]
    purgé 15 ans de prison pour le meurtre de sa femme. Il demandait sa réinscription. Le conseiller en question a réagi en disant devant les 18 personnes présentes : “Mais après tout ce n’est pas grave, ce n’était qu’une femme”.
    Autant dire que l’ambiance au bureau était assez tendue. Suite à mes plaintes, j’ai subi des menaces. Les pressions étaient aussi physiques. J’ai par exemple été molesté et bousculé dans le but de me pousser hors du Conseil de l’ordre. Je n’ai pas cédé. Le pire a eu lieu le 14 mai dernier. J’ai été victime d’une agression préméditée.

    Enfermé à clé
    Ce jour-là, je me rendais au bureau, accompagné du trésorier. Je venais préparer une réunion comme j’ai l’habitude de le faire. Le conseiller (celui au comportement anormal) était au courant de mon arrivée. Face à la porte d’entrée, impossible d’ouvrir. La serrure avait été bloquée par une clé mise de l’autre côté. Le trésorier qui m’accompagnait a donc dû tambouriner à la porte en se présentant. Le conseiller lui a ouvert, mais dès qu’il m’a vu, il m’a sauté dessus.
    Il m’a donné de multiples coups de poings et de genoux. Je suis tombé à terre. J’ai réussi à me relever, mais il a continué à me frapper, s’acharnant sur moi. Depuis 2005, je suis en ALD suite à une maladie auto immune. J’ai dû arrêter l’exercice en cabinet car je suis physiquement incapable de maintenir une station debout prolongée. Je n’avais aucune chance de pouvoir me défendre face à ce conseiller, qui est un ancien professeur d’arts martiaux. J’ai finalement réussi à me dégager et je suis allé me réfugier dans mon bureau. Derrière moi, dans le couloir, le Conseiller m’a enfermé à clé. J’ai dû faire appel à un collègue pour pouvoir me libérer. La police et les marins pompiers sont intervenus. J’ai été transporté à l’hôpital. Deux heures après l’agression, j’avais encore 19 de tension. J’ai eu deux mois d’ITT (Interruption Totale Temporaire). Pendant plus de deux mois, je n’ai pu me déplacer qu’à l’aide d’une canne.
    Cette affaire devrait être jugée avant la fin de l’année. Le comble c'est que, pendant que j’étais aux urgences, les putschistes ont prononcé ma démission d’office, prenant irrégulièrement la direction du conseil, et tentant ainsi de mettre au placard les plaintes que j’avais déposées contre eux. Ces pratiques ne sont pas à l’honneur d’un Ordre pour lequel je me suis tant investi."

    RENCONTRE par Propos recueillis par Sandy Berrebi le 02-08-2012 (egora.fr)

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    Message par necronomicon Sam 14 Mar 2015 - 13:01

    Quand le beurk pleurait pour de la thune (ce qu'il fait encore...).



    Lettre-type à la banque des CDOI-CROI - découvert occasionnel


    Banque



    « Ville », le « JJ/MM/AAAA »
    Envoi par lettre recommandée avec A.R.
    Envoi par mail ce jour

    Réf :
    Objet : Demande de découvert occasionnel - situation exceptionnelle


    Madame, Monsieur,

    L’Ordre national des infirmiers, dont le Conseil que je préside est le représentant au niveau du département/de la région, connaît actuellement des difficultés financières passagères.

    En effet, notre organisme chargé de missions de service public est financé par les seules cotisations obligatoires que les infirmiers doivent verser au mois de mai de chaque année. Or, le recouvrement de ces cotisations a présenté des difficultés, accentuées par la période estivale, qui placent l’Ordre dans une situation de difficulté financière produisant un découvert très occasionnel de notre compte courant.

    Je vous prie sincèrement de nous excuser de cette situation et vous indique que ces difficultés devraient cesser dès le mois prochain nous permettant de régulariser auprès de vous notre situation dans les meilleurs délais.

    En effet, notre Conseil national a engagé une discussion avec le siège du Groupe BPCE afin de trouver une solution amiable à cette difficulté. Elle doit aboutir le 30 août prochain.

    Je vous serais donc très reconnaissant de bien vouloir accorder au Conseil départemental/régional de l’Ordre des infirmiers un découvert très occasionnel jusqu’au courant du mois de septembre.

    En vous remerciant d’avance pour votre compréhension, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

    « Prénom - nom »
    Président(e) du Conseil départemental/régional de l’ordre des infirmiers
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    Message par necronomicon Sam 14 Mar 2015 - 13:02

    Quand le beurk ne pouvait plus payer ses nombreux loyers :


    Lettre-type aux bailleurs des CDOI-CROI - demande de délai




    Bailleurs



    « Ville », le « JJ/MM/AAAA »
    Envoi par lettre recommandée avec A.R.
    Envoi par mail ce jour

    Réf :
    Objet : Demande de délai de paiement du loyer


    Madame, Monsieur,

    L’Ordre national des infirmiers, dont le Conseil que je préside est le représentant au niveau du département/de la région, connaît actuellement des difficultés financières passagères.

    En effet, notre organisme chargé de missions de service public est financé par les seules cotisations obligatoires que les infirmiers doivent verser au mois de mai de chaque année. Or, le recouvrement de ces cotisations a présenté des difficultés, accentuées par la période estivale, qui placent l’Ordre dans une situation de difficulté financière ne permettant pas de manière très temporaire d’honorer le (ou les) loyer(s) du (des) mois de « mois ».

    Je vous prie sincèrement de nous excuser de ce retard et vous indique que ces difficultés devraient cesser dès le mois prochain nous permettant de régulariser auprès de vous notre situation dans les meilleurs délais.
    Je vous serais donc très reconnaissant de bien vouloir accorder au Conseil départemental/régional de l’Ordre des infirmiers de « département »/ « région » un délai de paiement du loyer/des loyers au mois de septembre 2011.

    En vous remerciant d’avance pour votre compréhension, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

    « Prénom - nom »
    Président(e) du Conseil départemental/régional de l’ordre des infirmiers
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    hugues dechilly


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    Message par hugues dechilly Dim 15 Mar 2015 - 5:02

    dans les jours et les semaines à venir, nous allons mettre au parfum les jeunes diplômés (et les autres) sur ces vieux documents qui ont fait que nous sommes encore et toujours plus encore contre ce beurk qui pue et qui sert à rien ...

    la lettre de la Taulière à iznogoud étant du meilleur cru ...
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    Message par necronomicon Dim 15 Mar 2015 - 8:48

    Quand la cavalerie portugaise arrivait en renfort :


    Monsieur Nicolas SARKOZY
    Président de la République
    Palais de l’Elysée
    75008 PARIS
    Lisbonne, le 11 Avril, 2011
    Monsieur le Président de la République,
    Nous nous permettons, au nom de l’Ordre des infirmiers du Portugal, de vous écrire car nous avons été informés des difficultés rencontrées par l’Ordre national des infirmiers de France, parce que l'on n'incite pas les infirmiers/ères en France à être inscrites à leur Ordre comme garantie pour la sécurité des soins infirmiers aux citoyens qui vivent dans votre pays de façon à faire de l’autorégulation professionnel un instrument pour améliorer les soins.
    Le sens de l’existence de l’autorégulation professionnel est pour cela, un affaire de l’État, et en conséquence le soutien du gouvernement pour faire respecter la loi, qui a décidé la création en 2006, de l’Ordre des Infirmiers en France, deviens très décisif, comme notre expérience le confirme.
    Sans vouloir nous ingérer dans une affaire française, nous souhaitons, en tant qu’autorité de régulation de la profession infirmière au Portugal, vous faire savoir notre vive préoccupation à la perspective de perdre un interlocuteur important à l’échelle européenne. Alors que les infirmiers figurent parmi les professionnels qui circulent le plus en Europe, la France compte une proportion non négligeable du total de la profession et constitue une destination d’accueil privilégiée. Nous sommes témoins que l’Ordre infirmier français est très engagé dans la mise en oeuvre de la Directive 2005/36/CE qui encadre la liberté de circulation et d’établissement des professions réglementées en Europe.
    Il serait vraiment préjudiciable à tous que la collaboration qu’il a su développer avec ses partenaires européens depuis le début de son fonctionnement effectif en 2009 soit réduite à néant parce que quelques pouvoirs influents refusent, au mépris de la loi, que les infirmières et les infirmiers puissent disposer de leur propre institution d’autorégulation.
    Le Portugal a fait le choix de créer un Ordre infirmier en 1998, et cela n’a pas été facile au départ : nous avons, nous aussi, rencontré des résistances. Elles ont néanmoins été surmontées grâce à un soutien sans faille du Gouvernement portugais. La profession
    infirmière ne peut que s’en féliciter aujourd’hui, car elle y a gagné en reconnaissance, en maturité et en possibilités de contribution collective à l’intérêt de la santé publique.
    Nous en appelons donc à votre Autorité pour rappeler aux infirmiers que l’Ordre est pour leur profession une chance que le législateur lui a accordée, et qu’il s’agit pour eux de se l’approprier. Autant que nous puissions en juger, tout le monde aurait à perdre à un échec de l’Ordre infirmier en France.
    En vous remerciant par avance de l’attention que vous voudrez bien prêter à cet appel, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre très haute considération.
    Maria Augusta Sousa
    President de
    L’Ordre des Infirmiers
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    Message par necronomicon Dim 15 Mar 2015 - 8:51

    Le genre de réponse qu'on reçoit à une demande de désinscription :



    Madame,


    Par votre mail du 4 septembre 2014, vous nous faites part de votre souhait de « ne plus être inscrite » au tableau de l’Ordre national des infirmiers.

    Aussi, nous tenons à vous rappeler que la loi, et les tribunaux qui l’ont jugé à plusieurs reprises, exigent bien qu’une personne exerçant la profession d’infirmier soit inscrite au tableau de l’Ordre. A cet égard, vous pourrez lire à l’article L4311-15 du Code de la santé publique (voir sa version en vigueur sur le site www.legifrance.gouv.fr) que « nul ne peut exercer la profession d’infirmier […] s’il n’est pas inscrit au tableau de l’ordre » et à l’article L4312-1 de ce même code qu’« Il est institué un ordre national des infirmiers groupant obligatoirement tous les infirmiers habilités à exercer leur profession en France, à l'exception de ceux régis par le statut général des militaires. »

    Nous voudrions vous rappeler ici l’importance absolument capitale pour vous d’exercer votre profession dans le respect des conditions légales.

    En effet, l’inscription au tableau atteste que vous respectez, dans votre exercice infirmier, les règles professionnelles et déontologiques de votre profession. Cet engagement vous le devez aux patients que vous soignez et sur lesquels vous disposez d’un droit exceptionnel, en tant que professionnel de santé, d’atteindre à l’intégrité de leur corps. C’est pour cela que la loi a souhaité créé un Ordre des infirmiers, afin de veiller au respect des règles professionnelles et du secret professionnel de la première en nombre des professions de santé dans notre pays.

    En contrepartie du pouvoir dont vous disposez en tant que soignant, le patient mais aussi votre employeur qui engage sa responsabilité notamment en vous assurant, et la société dans son ensemble, ont le droit d’avoir la garantie que le respect par vous de la déontologie est vérifié, contrôlé et éventuellement sanctionné par une autorité créée pour cela. Il est donc de votre responsabilité de soignante d’être inscrite à l’Ordre des infirmiers.

    L’inscription au tableau de l’ordre des infirmiers n’est donc en rien comparable à une adhésion à une association ou à un syndicat dont on peut se désinscrire si on en a le désir. Etre inscrite est un élément constitutif de votre exercice infirmier et une garantie obligatoire de la réalisation par vous d’actes infirmiers. Tant que vous exercez des actes infirmiers, vous devez donc être inscrite au tableau de l’ordre.

    Pour assurer ses missions légales, notre institution n’est financée que par les seules cotisations de ses membres. Le montant de celle-ci est modique : 75 euros par an soit 6.25 euros par mois pour les libéraux. Nous vous prions de bien vouloir vous acquitter de votre cotisation pour les années 2012, 2013 et 2014 afin d’éviter la réception de lettres de relance.

    L’Ordre national des infirmiers rassemble aujourd’hui 154.600 infirmiers inscrits et, progressivement, regroupera tous les infirmiers comme la loi l’exige. Sa richesse est justement de regrouper tous les modes d’exercice infirmier (salariés d’établissements publics ou privés, libéraux, etc.). Il incarne donc la profession et permet que s’exprime la voix de celle-ci dans les grands enjeux actuels. Vous trouverez sur notre site Internet nombre d’informations sur l’activité de votre ordre et les combats qu’il mène au bénéfice de la profession.

    Si toutefois, votre souhait de « désinscription » correspond à une cessation d’exercice de la profession d’infirmière pour cause de départ en retraite ou réorientation professionnelle,
    nous vous invitons à demander votre radiation du tableau de l’ordre au Conseil départemental de l’ordre des infirmiers de XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX en complétant le formulaire ci-joint et en l’envoyant, accompagné des documents justifiant votre nouvelle situation, en recommandé avec accusé de réception à l’adresse suivante :

    Conseil départemental de l’ordre des infirmiers de XXXXXXX

    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

    XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXxx

    Espérant que ces explications seront propres à dissiper le doute qui semble avoir été le vôtre, nous vous prions d’agréer, Madame, l’expression de mes sentiments confraternels.

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