complément d'information RESILIENCE suite dépêche APM du 21/03/2014
comme suite à la dépêche diffusée par l'APM le 21 mars 2014 au sujet de la condamnation, en Appel, de monsieur Hugues Dechilly, secrétaire général du syndicat infirmier contre l'ordre RESILIENCE,
RESILIENCE et Hugues Dechilly souhaitent que soient diffusées les informations complémentaires suivantes :
- Hugues Dechilly, comme cela est écrit dans la dépêche et donc dans le jugement, ne saurait être animé d'une quelconque animosité personnelle contre l'oni dans la mesure où le secrétaire général de RESILIENCE n'est pas soumis au diktat ordinal, les motivations qui animent Hugues Dechilly et les membres adhérents à RESILIENCE sont basées sur le statut extraordinaire des ordres professionnels qui cumulent les 3 pouvoirs (exécutif, judiciaire et législatif) que notre Constitution a bien pris soin de séparer afin qu'ils se contrôlent les uns par rapport aux autres, l'inutilité de disposer d'un ordre professionnel toujours rejeté par plus de 80% de la profession infirmière 8 années après sa promulgation au Journal Officiel de la République, l'existence de dispositifs antérieurs à l'oni pour représenter, juger et écouter les infirmières, notamment le Conseil Supérieur des Professions Paramédicales, le cumul par les mêmes personnes physiques de responsabilités ordinales, syndicales, associatives, etc ...
- lors de la première audience au Tribunal Correctionnel de Marseille, RESILIENCE n'a pas eu la possibilité d'aborder le sujet qui l'a amené ainsi qu' Hugues Dechilly à parler de mafia, de fonctionnement opaque et farfelu, le président du Tribunal ayant argué un manque de temps et le non intérêt à entrer dans le détail de plusieurs affaires infirmières déjà jugées, pourtant à l'origine des déclarations de RESILIENCE, ayant fait l'objet de jugements et de condamnations que l'ordre infirmier départemental des Bouches du Rhône n'a pas cru jugé utile de retenir lors de l'inscription au tableau départemental de l'infirmière en question, y compris lors des séances de la chambre disciplinaire régionale, l'intéressée ayant été condamnée en chambre disciplinaire nationale, pour d'autres motifs,
- à ce jour, et depuis l'été 2012, notre adhérente, infirmière marseillaise a re déposé une nouvelle plainte contre ladite infirmière condamnée à plusieurs reprises par la justice, le secrétaire général de RESILIENCE, Hugues Dechilly, a été entendu par les services de police du commissariat Nord de la ville à ce sujet, le dossier est toujours entre les mains du Procureur de la République de Marseille,
- une autre plainte, basée sur les mêmes faits, a été déposée il y a quelques semaines par une autre infirmière contre ladite infirmière déjà condamnée pour l'utilisation (toujours en cours à ce jour) d'un second cabinet infirmier, pourtant interdit, par décision/condamnation de justice, il y a plusieurs années,
- lorsque le secrétaire général de RESILIENCE s'est présenté une première fois au Tribunal de Marseille, début juillet 2013, le président lui a présenté ses excuses en séance publique, arguant ne pas avoir eu le temps d'étudier le dossier et reportant la date du jugement de deux mois, ayant montré un vif intérêt, qui ne semble pas avoir été repris ensuite, pour la demande d'examiner l'affaire sous l'angle de la légitimité de l'oni et / ou du conseil national de l'ordre infirmier à ester en justice, le jugement prononcé début septembre 2013 n'en n'ayant pas fait mention,
RESILIENCE et Hugues Dechilly, prennent acte, des informations contenues dans la même dépêche et annonçant (sans même l'avoir reçue) une autre procédure de la part de l'ordre infirmier qui, semble t-il, n'hésite pas à gaspiller l'argent des cotisations infirmières, ordre infirmier toujours en déficit et criblé de dettes
comme suite à la dépêche diffusée par l'APM le 21 mars 2014 au sujet de la condamnation, en Appel, de monsieur Hugues Dechilly, secrétaire général du syndicat infirmier contre l'ordre RESILIENCE,
RESILIENCE et Hugues Dechilly souhaitent que soient diffusées les informations complémentaires suivantes :
- Hugues Dechilly, comme cela est écrit dans la dépêche et donc dans le jugement, ne saurait être animé d'une quelconque animosité personnelle contre l'oni dans la mesure où le secrétaire général de RESILIENCE n'est pas soumis au diktat ordinal, les motivations qui animent Hugues Dechilly et les membres adhérents à RESILIENCE sont basées sur le statut extraordinaire des ordres professionnels qui cumulent les 3 pouvoirs (exécutif, judiciaire et législatif) que notre Constitution a bien pris soin de séparer afin qu'ils se contrôlent les uns par rapport aux autres, l'inutilité de disposer d'un ordre professionnel toujours rejeté par plus de 80% de la profession infirmière 8 années après sa promulgation au Journal Officiel de la République, l'existence de dispositifs antérieurs à l'oni pour représenter, juger et écouter les infirmières, notamment le Conseil Supérieur des Professions Paramédicales, le cumul par les mêmes personnes physiques de responsabilités ordinales, syndicales, associatives, etc ...
- lors de la première audience au Tribunal Correctionnel de Marseille, RESILIENCE n'a pas eu la possibilité d'aborder le sujet qui l'a amené ainsi qu' Hugues Dechilly à parler de mafia, de fonctionnement opaque et farfelu, le président du Tribunal ayant argué un manque de temps et le non intérêt à entrer dans le détail de plusieurs affaires infirmières déjà jugées, pourtant à l'origine des déclarations de RESILIENCE, ayant fait l'objet de jugements et de condamnations que l'ordre infirmier départemental des Bouches du Rhône n'a pas cru jugé utile de retenir lors de l'inscription au tableau départemental de l'infirmière en question, y compris lors des séances de la chambre disciplinaire régionale, l'intéressée ayant été condamnée en chambre disciplinaire nationale, pour d'autres motifs,
- à ce jour, et depuis l'été 2012, notre adhérente, infirmière marseillaise a re déposé une nouvelle plainte contre ladite infirmière condamnée à plusieurs reprises par la justice, le secrétaire général de RESILIENCE, Hugues Dechilly, a été entendu par les services de police du commissariat Nord de la ville à ce sujet, le dossier est toujours entre les mains du Procureur de la République de Marseille,
- une autre plainte, basée sur les mêmes faits, a été déposée il y a quelques semaines par une autre infirmière contre ladite infirmière déjà condamnée pour l'utilisation (toujours en cours à ce jour) d'un second cabinet infirmier, pourtant interdit, par décision/condamnation de justice, il y a plusieurs années,
- lorsque le secrétaire général de RESILIENCE s'est présenté une première fois au Tribunal de Marseille, début juillet 2013, le président lui a présenté ses excuses en séance publique, arguant ne pas avoir eu le temps d'étudier le dossier et reportant la date du jugement de deux mois, ayant montré un vif intérêt, qui ne semble pas avoir été repris ensuite, pour la demande d'examiner l'affaire sous l'angle de la légitimité de l'oni et / ou du conseil national de l'ordre infirmier à ester en justice, le jugement prononcé début septembre 2013 n'en n'ayant pas fait mention,
RESILIENCE et Hugues Dechilly, prennent acte, des informations contenues dans la même dépêche et annonçant (sans même l'avoir reçue) une autre procédure de la part de l'ordre infirmier qui, semble t-il, n'hésite pas à gaspiller l'argent des cotisations infirmières, ordre infirmier toujours en déficit et criblé de dettes