lettre aux utilisateurs du site @ RESILIENCE :
chères collègues,
à vous qui lisez, plus ou moins, régulièrement les infos diffusées par RESILIENCE - syndicat infirmier contre l'ordre - nous voulons ici vous remercier pour votre assiduité et votre soutien.
Les plus "jeunes" d'entre vous peuvent trouver le site un peu brouillon tant la somme des infos accumulées en deux ans est importante, pour ne pas dire impressionnante, en priorité au sujet de l'ordre infirmier, mais pas seulement, la lecture quotidienne du Journal Officiel ou hebdomaire des Journaux Officiels de l'Assemblée Nationale et du Sénat est source abondante d'infos, souvent non (re)lues mais pourtant intéressante, enrichissante.
Il arrive que certains nous interpellent pour nous dire leur impression d'être perdus au milieu de cette masse d'infos. Il suffit pourtant d'utiliser la fonction "rechercher" en haut de la page pour, souvent, trouver l'info en question ... nous ne sommes pas les seuls sur RESILIENCE à connaître ce type de demandes.
A celles et ceux qui, plus anciens et souvent adhérents, connaissent mieux le site, je veux aussi dire mes remerciements pour votre contribution intelligente au débat contre ordinal. Cette richesse d'esprit est souvent saluée comme telle et il n'est pas rare que des journalistes professionnels infirmiers, entre autres, viennent, ici, trouver soit les infos, soit l'inspiration sur le sujet ordinal.
De plus, les adhérents ont la possibilité d'entrer dans la face cachée du site qui leur est réservée, puisque ce site comme beaucoup, est à plusieurs niveaux de lecture en fonction des droits ouverts ou non. Cette face cachée permettant, entre autre, l'échange d'infos sans risque d'être vu et / ou reconnu, permettant aussi à RESILIENCE de pouvoir informer efficacement sans tomber sous le coup de certains textes de Loi qui encadrent la diffusion de certaines infos.
Ce sont d'ailleurs ces infos que viennent chercher/trouver certains utilisateurs "assidus" ordinaux (repérés comme tels) qui parfois utilisent l'insulte et l'injure pour, entre autre, assouvir leur besoin d'exprimer la bêtise ordinale telle que nous la connaissons.
C'est ainsi que nous avons identifié certains d'entre eux et que le moment venu, ils devront répondre devant la Justice des tribunaux de leurs actes et autres quolibets, chacun son tour, comme à confesse ...
En deux années d'existence, RESILIENCE n'a jamais été démenti par l'ordre des informations diffusées tout simplement parce que la majorité de ces informations proviennent de l'ordre lui même et qu'il lui serait difficile de contre dire ses propres écrits. Mais comme on a déjà beaucoup en la matière, il ne faut plus s'étonner de rien.
Peut être avez vous remarqué que depuis quelques jours, nous sommes particulièrement actifs vis à vis de certaines institutions ou autres ministères. Il faut dire que la tounure que semble prendre le postionnement gouvernemental ou parlementaire, voire juridique sur le sujet de l'ordre infirmier n'inspire pas confiance, loin s'en faut. Les délateurs et/ou opposants d'hier ne sont plus aussi hargneux aujourd'hui qu'ils sont installés au pouvoir. Nous saurons pourtant leur rappeler leurs engagements écrits, comme nous avons commencé à le faire, car nous ne nous contenterons pas de vaines promesses.
Nous l'avions annoncé avant les élections, nous, tiendrons parole : nous ne lâcherons RIEN, pas un pouce de terrain, dans la lutte contre l'honni oni. L'argument diffusé, ici ou là, comme quoi ce sujet n'est pas prioritaire est un argument que nous rejetons car il est, à nos yeux primordial tant les agissements ordinaux contre les infirmières et les étudiants ne subissent pas de répit/repos. De plus, par ces temps de disette financière, l'abrogation de l'ordre ne coûteraient pas un euro au budget de l'Etat.
Nous savons, ils ne se cachent d'ailleurs plus pour le dire, que les motivations des nouveaux décideurs à freiner des deux pieds dans ce domaine sont toutes autres. La récente inrterview donnée par la présidente de la Commission des Affaires Sociales de l'Assemblée Nationale en est le meilleur (plus mauvais) exemple.
Le combat est donc loin d'être terminé. C'est ensemble que nous parviendrons à dézinguer cet ordre qui nous est imposé et que nous ne reconnaissons pas. C'est avec votre soutien, y compris financier, que RESILIENCE continuera à informer, défendre ses adhérents et attaquer l'ordre.
chères collègues,
à vous qui lisez, plus ou moins, régulièrement les infos diffusées par RESILIENCE - syndicat infirmier contre l'ordre - nous voulons ici vous remercier pour votre assiduité et votre soutien.
Les plus "jeunes" d'entre vous peuvent trouver le site un peu brouillon tant la somme des infos accumulées en deux ans est importante, pour ne pas dire impressionnante, en priorité au sujet de l'ordre infirmier, mais pas seulement, la lecture quotidienne du Journal Officiel ou hebdomaire des Journaux Officiels de l'Assemblée Nationale et du Sénat est source abondante d'infos, souvent non (re)lues mais pourtant intéressante, enrichissante.
Il arrive que certains nous interpellent pour nous dire leur impression d'être perdus au milieu de cette masse d'infos. Il suffit pourtant d'utiliser la fonction "rechercher" en haut de la page pour, souvent, trouver l'info en question ... nous ne sommes pas les seuls sur RESILIENCE à connaître ce type de demandes.
A celles et ceux qui, plus anciens et souvent adhérents, connaissent mieux le site, je veux aussi dire mes remerciements pour votre contribution intelligente au débat contre ordinal. Cette richesse d'esprit est souvent saluée comme telle et il n'est pas rare que des journalistes professionnels infirmiers, entre autres, viennent, ici, trouver soit les infos, soit l'inspiration sur le sujet ordinal.
De plus, les adhérents ont la possibilité d'entrer dans la face cachée du site qui leur est réservée, puisque ce site comme beaucoup, est à plusieurs niveaux de lecture en fonction des droits ouverts ou non. Cette face cachée permettant, entre autre, l'échange d'infos sans risque d'être vu et / ou reconnu, permettant aussi à RESILIENCE de pouvoir informer efficacement sans tomber sous le coup de certains textes de Loi qui encadrent la diffusion de certaines infos.
Ce sont d'ailleurs ces infos que viennent chercher/trouver certains utilisateurs "assidus" ordinaux (repérés comme tels) qui parfois utilisent l'insulte et l'injure pour, entre autre, assouvir leur besoin d'exprimer la bêtise ordinale telle que nous la connaissons.
C'est ainsi que nous avons identifié certains d'entre eux et que le moment venu, ils devront répondre devant la Justice des tribunaux de leurs actes et autres quolibets, chacun son tour, comme à confesse ...
En deux années d'existence, RESILIENCE n'a jamais été démenti par l'ordre des informations diffusées tout simplement parce que la majorité de ces informations proviennent de l'ordre lui même et qu'il lui serait difficile de contre dire ses propres écrits. Mais comme on a déjà beaucoup en la matière, il ne faut plus s'étonner de rien.
Peut être avez vous remarqué que depuis quelques jours, nous sommes particulièrement actifs vis à vis de certaines institutions ou autres ministères. Il faut dire que la tounure que semble prendre le postionnement gouvernemental ou parlementaire, voire juridique sur le sujet de l'ordre infirmier n'inspire pas confiance, loin s'en faut. Les délateurs et/ou opposants d'hier ne sont plus aussi hargneux aujourd'hui qu'ils sont installés au pouvoir. Nous saurons pourtant leur rappeler leurs engagements écrits, comme nous avons commencé à le faire, car nous ne nous contenterons pas de vaines promesses.
Nous l'avions annoncé avant les élections, nous, tiendrons parole : nous ne lâcherons RIEN, pas un pouce de terrain, dans la lutte contre l'honni oni. L'argument diffusé, ici ou là, comme quoi ce sujet n'est pas prioritaire est un argument que nous rejetons car il est, à nos yeux primordial tant les agissements ordinaux contre les infirmières et les étudiants ne subissent pas de répit/repos. De plus, par ces temps de disette financière, l'abrogation de l'ordre ne coûteraient pas un euro au budget de l'Etat.
Nous savons, ils ne se cachent d'ailleurs plus pour le dire, que les motivations des nouveaux décideurs à freiner des deux pieds dans ce domaine sont toutes autres. La récente inrterview donnée par la présidente de la Commission des Affaires Sociales de l'Assemblée Nationale en est le meilleur (plus mauvais) exemple.
Le combat est donc loin d'être terminé. C'est ensemble que nous parviendrons à dézinguer cet ordre qui nous est imposé et que nous ne reconnaissons pas. C'est avec votre soutien, y compris financier, que RESILIENCE continuera à informer, défendre ses adhérents et attaquer l'ordre.